Page:Bernard-Pradon - Le Commerce galant.djvu/106

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Avec tant de tranquilité
D’une maniere ſi cruelle,
Helas ! vostre cœur en ſecret
N’avoit-il pas quelque regret,
De perdre un Amant ſi fidelle ?

Réponſe au plutoſt, je vous en conjure, degagez-moy tout à fait, ou me rengagez pour jamais.


LA JEUNE IRIS
À
TIMANDRE.

Lettre quatorzième.

Je vois qu’à mon intention, Timandre vous avez quitté l’indifference Comme la choſe eſt pour moy d’importance,