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LETTRE
DE
TIMANDRE
À
LA JEUNE IRIS.

Lettre quatriéme.

Qui vôtre veuë me donna hier, une joye ſenſible. Il y avoir quinze jours que je vous cherchois par tout ſans vous trouver ; & dans ce temps, peut-eſtre n’avez-vous pas ſongé un moment à moy. Vous me paruſtes plus aimable que jamais ; vos yeux me dirent en un inſtant cent