Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
374
TABLE DES MATIÈRES.
LES GRANDES MAISONS RÉGNANTES.
La maison d’Aragon à Naples. — Le dernier Visconti de Milan. — François Sforza et sa fortune. — Galéas Marie et Ludovic le More. — Les Gonzague de Mantoue. — Frédéric de Montefeltro, duc d’Urbin. — Les Este à Ferrare.
LES ADVERSAIRES DE LA TYRANNIE.
Les Guelfes et les Gibelins des quinzième et seizième siècles. — Les conspirateurs. — Les assassinats dans les églises. — Influence du tyrannicide antique. — Les imitateurs de Catilina, — Opinions des Florentins sur le tyrannicide. — Le peuple et les conspirateurs.
LES RÉPUBLIQUES : VENISE ET FLORENCE.
Venise au quinzième siècle. — Les habitants. — L’État et le danger provenant de la noblesse pauvre. — Causes de l’inébranlable solidité de Venise. — Le Conseil des Dix et les procès politiques. — Rapports de Venise avec les condottieri. — Optimisme de la politique extérieure. — Venise considérée comme la patrie de la statistique. — Lenteur du mouvement de la Renaissance. — Culte arriéré des reliques. — Florence à partir du quatorzième siècle. — Caractère objectif dela conscience politique. — Dante considéré comme homme politique. — Florence considérée comme la patrie de la statistique ; les Villani. — La statistique des intérêts supérieurs. — Les formes constitutionnelles et les historiens. — Le vice originel de l’État toscan. — Les hommes d’État. — Machiavel et son projet de constitution. — Sienne et Gênes.
POLITIQUE EXTÉRIEURE DES ÉTATS ITALIENS.
L’envie excitée par Venise. — L’étranger ; les sympathies pour la France. — Essai d’équilibre. — Intervention et conquête. — Alliances avec les Turcs. — La réaction espagnole. — Manière objective de traiter la politique. — L’art des négociations.
LA GUERRE CONSIDÉRÉE COMME UN ART.
Les armes à feu. — Connaisseurs et amateurs. — Horreurs de la guerre.