Livre:Burckhardt - La civilisation en Italie au temps de la Renaissance. Tome 1.djvu
Titre | La Civilisation en Italie au temps de la Renaissance. Tome 1 |
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Auteur | Jacob Burckhardt |
Traducteur | Louis Schmitt |
Maison d’édition | Plon |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1906 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | Tome I — Tome II |
Pages
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TABLE DES MATIÈRES
DU TOME PREMIER.
PREMIÈRE PARTIE
L’ÉTAT CONSIDÉRÉ AU POINT DE VUE DU MÉCANISME.
INTRODUCTION.
État politique de l’Italie au treizième siècle. — L’État normand sous Frédéric II. — Ezzelino da Romano.
LA TYRANNIE AU QUATORZIÈME SIECLE.
Système financier ; degré de culture. — L’idéal du souverain absolu. — Dangers intérieurs et extérieurs. — Jugement des Florentins sur les tyrans. — Les Visconti jusqu’à l’avant-dernier.
LA TYRANNIE AU QUINZIÈME SIECLE.
Interventions et voyages des empereurs. — Absence d’un droit dhérédité défini ; exemples de successions illégitimes. — Condottieri fondateurs d’États. — Leur situation vis-à-vis du maître qui les paye. — La famille Sforza. — Giacomo Piccinino. — Tentatives ultérieures des condottieri.
LES PETITS TYRANS.
Les Baglioni de Pérouse. — Massacre de l’année 1506. — Les maisons Malatesta Pico et Petrucci.
LES GRANDES MAISONS RÉGNANTES.
La maison d’Aragon à Naples. — Le dernier Visconti de Milan. — François Sforza et sa fortune. — Galéas Marie et Ludovic le More. — Les Gonzague de Mantoue. — Frédéric de Montefeltro, duc d’Urbin. — Les Este à Ferrare.
LES ADVERSAIRES DE LA TYRANNIE.
Les Guelfes et les Gibelins des quinzième et seizième siècles. — Les conspirateurs. — Les assassinats dans les églises. — Influence du tyrannicide antique. — Les imitateurs de Catilina, — Opinions des Florentins sur le tyrannicide. — Le peuple et les conspirateurs.
LES RÉPUBLIQUES : VENISE ET FLORENCE.
Venise au quinzième siècle. — Les habitants. — L’État et le danger provenant de la noblesse pauvre. — Causes de l’inébranlable solidité de Venise. — Le Conseil des Dix et les procès politiques. — Rapports de Venise avec les condottieri. — Optimisme de la politique extérieure. — Venise considérée comme la patrie de la statistique. — Lenteur du mouvement de la Renaissance. — Culte arriéré des reliques. — Florence à partir du quatorzième siècle. — Caractère objectif dela conscience politique. — Dante considéré comme homme politique. — Florence considérée comme la patrie de la statistique ; les Villani. — La statistique des intérêts supérieurs. — Les formes constitutionnelles et les historiens. — Le vice originel de l’État toscan. — Les hommes d’État. — Machiavel et son projet de constitution. — Sienne et Gênes.
POLITIQUE EXTÉRIEURE DES ÉTATS ITALIENS.
L’envie excitée par Venise. — L’étranger ; les sympathies pour la France. — Essai d’équilibre. — Intervention et conquête. — Alliances avec les Turcs. — La réaction espagnole. — Manière objective de traiter la politique. — L’art des négociations.
LA GUERRE CONSIDÉRÉE COMME UN ART.
Les armes à feu. — Connaisseurs et amateurs. — Horreurs de la guerre.
LA PAPAUTÉ ET SES DANGERS.
La Situation vis-à-vis de l’étranger et de l’Italie. — Troubles à Rome à partir de Nicolas V. — Sixte IV, maître de Rome. — Les princes neveux voulant se faire une principauté indépendante dans la Romagne. — Cardinaux issus de maisons princières. — Innocent VIII et son fils. — Alexandre VI, s’entourant d’Espagnols. — Rapports avec l’étranger et simonie. — César Borgia et ses rapports avec son père. — Ses projets et ses actes. — Jules II, sauveur de la papauté. — Léon X et ses projets ; dangers extérieurs. — Adrien VI. — Clément VII et le sac de Rome. — Suites de cet événement et réaction. — Réconciliation de Charles V avec le Pape. — La papauté combattant la Réforme.
L’ITALIE DES PATRIOTES.
DEUXIÈME PARTIE
LE DÉVELOPPEMENT DE L’INDIVIDU.
L’ÉTAT ITALIEN ET L’INDIVIDU.
L’homme du moyen âge. — Le réveil de la personnalité. — Le despote et ses sujets. — L’individualisme dans les républiques. — L’exil et le cosmopolitisme.
ENTIER DÉVELOPPEMENT DE LA PERSONNALITÉ.
Les hommes doués d’aptitudes variées. — Les hommes universels : L. B. Alberti.
LA GLOIRE MODERNE.
Dante et la gloire. — Célébrité des humanistes : Pétrarque. — Le culte des maisons illustrées par certaines naissances ; le culte des tombeaux. — Le culte des grands hommes de l’antiquité. — La littérature relative aux gloires locales ; Padoue. — La littérature célébrant les gloires de tous les pays. — La gloire dépendant des écrivains. — La passion de la gloire.
LA RAILLERlE ET L’ESPRIT MODERNES.
Leur connexion avec l’individualisme. — La raillerie des Florentins ; la nouvelle. — Les diseurs de bons mots et les bouffons. — Les plaisanteries de Léon X. — La parodie dans la poésie. — Théorie du bel esprit. — La diffamation. — Adrien VI en est victime. — Pierre Arétin.
TROISIÈME PARTIE
LA RÉSURRECTION DE L’ANTIQUITÉ.
OBSERVATIONS PRÉLIMINAIRES.
Extension de l’idée de Renaissance. — L’antiquité au moyen âge. — La poésie latine au douzième siècle en Italie. — L’esprit du quatorzième siècle.
ROME, LA VILLE AUX RUINES CÉLÈBRES.
Dante, Pétrarque, Uberti. — La Rome du Pogge. — Nicolas V ; Pie II considéré comme antiquaire. — L’antiquité hors de Rome. — Villes et familles dont on fait remonter l’origine à Rome. — Le cadavre trouvé à Rome. — Fouilles et découvertes. — Rome sous Léon X. — Amour sentimental des ruines.
LES AUTEURS ANCIENS.
Leur vulgarisation au quatorzième siècle. — Découvertes du quinzième siècle. — Les bibliothèques. — Copistes et écrivains. — Les livres imprimés. — Les études grecques en général. — Études orientales. — Pic et l’antiquité.
L’HUMANlSME AU QUATORZIÈME SIÈCLE.
Son triomphe est inévitable. — Goût de Dante, de Pétrarque et de Boccace pour l’étude de l’antiquité. — Le couronnement des poëtes.
LES UNIVERSITÉS ET LES ÉCOLES.
Positiion des humanistes dans les universités. — Écoles latines. — Éducation libérale : Victorin de Feltre. — Guarino de Vérone. — Éducation de jeunes princes.
LES PROMOTEURS DE L’HUMANISME.
Bourgeois de Florence : Niccoli, Manetti. — Les premiers Médicis. — L’humanisme dans les cours. — Les papes depuis Nicolas V. — Alphonse de Naples. — Frédéric d’Urbin. — Les Sforza et les Este. — Sigismond Malatesta.
REPRODUCTION DE L’ANTIQUITÉ ; ÉPISTOLOGRAPHIE
ET DISCOURS LATIN.
La chancellerie pontificale. — Importance qu’on attachait au style épistolaire. — Les orateurs. — Discours politiques, discours de réception et oraisons funèbres. — Discours académiques et harangues militaires. — Le sermon en latin. — Forme et fond des discours. — La manie des citations. — Discours sur des sujets fictifs. — Décadence de l’éloquence.
LES TRAITÉS EN LATlN ET L’HISTOIRE.
Valeur absolue du latin. — Recherches sur le moyen âge ; Blondus. — Rapport entre ces recherches et la manière décrire l’histoire en Italie.
LATINISATION GÉNÉRALE DE LA CULTURE.
Les noms antiques. — Imitation de la vie latine. — Prétention, à l’autocratie. — Cicéron et les cicéroniens. — La conversation en latin.
LA POÉSIE NÉO-LATINE.
L’épopée tirée de l’histoire de l’antiquité ; l’ « Afrique ». — La poésie mythique. — Épopée chrétienne ; Sannazar. — Poésie tirée de l’histoire du temps. — Intervention de la mythologie — Poésie didactique ; Palingenius. — La poésie lyrique et ses limites. — Odes en l’honneur de certains saints. — Élégies et poésies du même genre, — L’épigramme.
DÉCADENCE DE L’HUMANISME AU SEIZIÈME SIÈCLE.
Les accusations dirigées contre les humanistes ; jusqu’à quel point ils étaient coupables. — Leurs malheurs. — L’opposé des humanistes. — Pomponius Lætus. — Les académies.