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Page:Chateaubriand - Œuvres complètes, éd. Garnier, 1861, tome 4.djvu/526

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26e. — page 229.

Si la sibylle de Cumes, etc.

Cela est historique. Après la délibération de son conseil, Dioclétien voulut encore avoir l’avis des dieux. Il fit consulter l’oracle. La réponse fut à peu près telle qu’on la verra dans le livre suivant.

LIVRE DIX-SEPTIÈME.


1re Remarquepage 230.

Terre où règnent un souffle divin et des génies amis des hommes.

Platon, in Republ.


2e. — page 230.

Qui me donnera des ailes, etc.

Οἰκείων δ᾽ ὑπὲρ θαλάμων
Πτέρυγας ἐν νώτοις ἁμοῖς
Λήξαιμι θοάζουσα,
Χοροῖς δἑ σταίην, ὅθι καὶ
Παρθένος εὐδοκίμων γάμων,
Παρὰ πόδ᾽ εἱλίσσουσα φίλα
Ματρὸς ἡλίκων θιάσους,
Ἐς ἁμίλλας χαρίτων
Χαίτας ἁβρόπλουτον ἔριν,
Ὁρνυμένα, πολυποίκιλα φάρεα
Καὶ πλοκάμους περιβαλλομένα
Γένυσιν ἐσκίαζον.

(Eurip., in Iph. Taur.)

Ἦ ῥοθίοις εἰλατίνοις
Δικρότοισι κώπαις
Ἔπλευσαν ἐπὶ πόντια κύματα,
Νάιον ὄχημα
Λινοπόροις αὔραις, 410
Φιλόπλουτον ἅμιλλαν
Αὔξοντες μελάθροισιν;
............
............
Παράλιον αἰγιαλόν