junii, obsederunt. Obsederunt, inquam, non tanquam novercam privigni, sed quasi matrem filii. » (Baldric., Histor. Jeros., lib. iv.)
Le Tasse a imité ce passage, ainsi que moi :
Ecco apparir Gerusalem si vede ;
Ecco additar Gerusalem si scorge ;
Ecco da mille voci unitamente
Gerusalemme salutar si sente, etc., etc.
Les strophes qui suivent sont admirables :
Al gran piacer che quella prima vista
Dolcemente spiro nell’altrui petto,
Alta contrizion successe, etc.
Mais je suis fâché qu’il ait manqué le non tanquam novercam privigni, sed quasi matrem filii. Moi qui n’ai peint qu’une caravane paisible, je n’ai pu faire usage de ce beau trait.
Entre la vallée du Jourdain, etc.
Quelques lecteurs se rappelleront peut-être d’avoir vu une partie de cette description dans un article du Mercure de France (août 1807).
Le bois consacré à Vénus.
Eusèbe, dans la Vie de Constantin, dit que c’étoit un temple, et qu’il fut démoli par ordre de ce prince.
La vraie croix étoit retrouvée.
Sainte Hélène, comme on sait, retrouva la vraie croix au bas du Calvaire. On a bâti dans cet endroit une espèce d’église souterraine, qui se réunit à l’église du Saint-Sépulcre et à celle du Calvaire.
Hélène avoit fait enfermer le Sépulcre, etc.
C’est la description exacte de l’église du Saint-Sépulcre telle qu’elle existoit lorsque je l’ai vue. Eusèbe nous a laissé de longs détails sur l’église que Constantin ou plutôt sa mère fit bâtir sur le saint tombeau ; mais j’ai mieux