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TABLE DES MATIÈRES.



PREMIÈRE PARTIE.
CE QU’ON DOIT S’ATTENDRE À TROUVER DANS CE LIVRE
ET COMMENT IL FUT COMPOSÉ.


I. Courts prolégomènes. — Pour qui ce livre n’est pas écrit. — À quel âge et dans quelles circonstances je commence à prendre note de mes rêves, et ensuite à les étudier. — Mes premières découvertes et mes premiers progrès dans cette voie. — Je suis cependant forcé d’interrompre ces études que je reprends plus tard. — Pourquoi je n’ai pas concouru en 1855, et sous quelle forme je me détermine à publier mes recherches aujourd’hui 
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II. Le journal de mes rêves et les premiers résultats que j’en obtiens. — Je m’accoutume à me rappeler de mieux en mieux ce que j’ai rêvé, et j’arrive à la conviction qu’il n’est point de sommeil sans rêves. — J’acquiers ensuite l’habitude de savoir, en rêvant, que je rêve, et j’observe dans cetétat les opérations de mon esprit 
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III. Les visions que nous avons en songe peuvent se définir : la représentation aux yeux de notre esprit des objets quioccupent notre pensée. — Nihil est in visionibus somniorum quod non prius fuerit in visu. — Les clichés-souvenirs. — Différence entre rêver et penser. — Pourquoi nous avons tantôt des visions d’une netteté parfaite, et tantôt des visions confuses. — Premier examen de quelques opinions matérialistes. — Un rêve de fleuriste et un rêve de mendiant. — Sur les monuments d’architecture et sur les ouvrages d’art qui nous apparaissent en rêve. — Relation d’un rêve assez remarquable et conséquences à en tirer 
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