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NOTES

(17) P. 142. Archives, C11 E (11), fo 350.

(18) P. 143. Ibid., D4 fo 512.

(19) P. 144. Voir aussi Chap. VIIII, Un mémoire accusait le missionnaire Petit de trahison envers la France, de commerce avec les Anglais, etc. (C11, D 1 et 2).

(20) P. 145. Archives, C11 E2 fo 80 et E3 fo 189.

(21) P. 145. Ibid., E2 fo 173.

(22) P. 146. Baxter, 31.

(23) P. 147. Les armes des d’Abbadie de Saint-Castin était, d’après Cherin, d’or au pin de sinople, soutenu sur un croissant d’argent et accompagné de deux autres croissants aussy d’argent, surmontés d’un oiseau de même au chef d’azur chargé de trois étoiles d’argent (cf Le Blant, 88, note). Massicotte et Roy, dans leur Armorial du Canada français, donnent cette version : « D’or à l’arbre de sinople, au lévrier de gueules, accolé d’argent et attaché par une chaîne du même à l’arbre, au haut du fût ; au chef d’azur d’un croissant d’argent accosté de deux étoiles d’or ».

(24) P. 147. Voir Le Blant, chap. VIII.

(25) P. 148. Archives, B22 fo 197.

(26) P. 148. Voir cette lettre dans Le Blant, p. 137.

Saint-Castin écrivait, le 29 sept. 1703 : « Qu’il me soit permis de saisir et faire vendre la charge de Mr . le juge d’Aloron, laquelle il a achetée des biens de ma succession » .


CHAPITRE VIII

(1) P. 152. Niles, Belknap, Williamson, Sylvester.

(2) P. 152. Williamson, II, 42.

(3) P. 153. Quelle était cette fille ? Voir note (3), chap. VII.

(4) P. 155. Brouillan était mort en 1704, Bonaventure avait assuré l’intérim, mais n’avait pu obtenir la succession à cause de la mauvaise conduite dont on l’accusait (le roi à Bonaventure, 22 mai 1706), accusations inspirées par la passion ainsi que le reconnaissait le roi dans une lettre du 20 mai 1710. Subercase avait pris le commandement en 1706.

(5) P. 156. Les récits de ce combat sont nombreux : Belknap, lettre de Subercase, Mémoire des services de Saint-Castin, Charlevoix, Diéreville, Beauchesne. Ils sont tous confus et contradictoires. Celui du Mémoire ne peut se concilier avec les autres. Saint-Castin et Charlevoix racontent que l’ennemi attaqua au début de l’été, leva le camp et revint à la fin d’août. Belknap note que l’armée rentra à Boston à la fin d’août, mais, d’après lui, une partie des troupes anglaises passèrent tout l’été devant Port-Royal, tandis que le reste, replié vers la Nouvelle-Angleterre, revint au combat à la fin de juillet. Nous suivons, dans ses grandes lignes, le récit de Charlevoix en le complétant de détails empruntés aux relations.)