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Derème - La Verdure dorée, nouv. éd.djvu/290
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266
la verdure dorée
Pages.
Comme j’allais couvert de la poussière du voyage
13
Comme les marronniers d’Inde et la grange qu’on
250
D’allégresse vibrant de la nuque au talon
19
Dans la froideur de l’aube hivernale, il bruine
61
Dans le calme la barque se balance
74
Dans l’odeur des œillets, du fenouil et du buis
54
Débouchons l’encrier et du titre à la table
37
Délaissons, s’il te plaît, Baruch de Spinoza
81
Dénouons les rubans mauves que tu voulus
78
Des mois ont fui ; mais ma pensée
58
Droite, dans la candeur des voiles, à l’orée
18
Elle disait : « Le bonheur vient on ne sait d’où
»
44
En l’honneur de ton nom je veux sonner du luth
86
Entre la vie et moi tirant un voile épais
36
En vain tu mets tes doigts sur mes yeux inquiets
140
Et naguère aux midis de résine imprégnés
117
Et tu disais : « Vous tous qui souffrez d’insomnie. »
91
Fumerai-je au soir de ma vie
77
Girouette, tu peux crier sur les ardoises
72
J’ai laissé de mon cœur tout le long du chemin
48
J’ai mis des fleurs autour de ma flûte mélancolique
222
Jardin mouillé, chantons encore ce poème
168
J’avais toujours rêvé d’éternelles amours
28
Jean Pellerin, j’ai revêtu la houppelande
176
Je crayonne ton nom sur la peau d’un tambour
115
Je dirai pour l’instruction des biographes
133
Je ne veux point gémir ni perdre la pensée
238
Je revis doucement d’anciennes pensées
60
Je souffle dans ma pauvre flûte
231
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