Page:Du Camp - Paris, tome 6.djvu/363

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— L’enfant terrible. — Ni tradition, ni point d’appui. — Le poids des mœurs. — « Revenez aux principes. » — Pourquoi la Révolution française a échoué. — La religion seule modifie les mœurs. — Race latine. — Catholicisme. — Les protestants. — Mal de langueur. — Libre examen. — Infaillibilité. — Un précepte de Franklin. — Mépris de la légalité. — Légalités successives. — Le droit divin et la souveraineté nationale ont eu des fortunes semblables. — Le nombre est le maître. — Les revendications. — Double action. — En 1848. — Les dieux modernes. — On voulait obtenir, on veut prendre. — L’orgueil du peuple de Paris. — Flatteries intéressées. — O Démos ! — Tout effort réservé pour la guerre civile. — Sully ou Richelieu. — Société sans équilibre. — L’ambition du peuple. — Les nouvelles couches sociales. — Révolution contre la bourgeoisie. — Les privilèges de l’ancienne noblesse. — La souveraineté diffuse. — Les privilèges de la bourgeoisie actuelle. — Le capital. — La rente sous le Directoire. — Le drapeau rouge. — Inégalité des conditions. — Un document récent. — Il faut regarder le danger en face. — Le prolétariat parisien. — L’aristocratie ouvrière. — La gouappe. — 45 000 hommes. — Violence et maladie. — Paradis perdu. — Les grévistes. — Leur idéal. — Ce qu’ils voient dans la civilisation. — Quitter l’outil. — Les déclassés de la petite bourgeoisie. — L’incendie de Paris n’a pas été une œuvre spontanée. — Les vœux des nouvelles couches sociales. — L’État administrateur. — L’État fabricant. — Le monopole. — Les charges privilégiées. — Les réclamations de la classe ouvrière. — Confiscation des grandes industries. — Le droit au travail. — Limitation du nombre des ouvriers. — Retour aux maîtrises du moyen âge. — La grève des cochers en 1865. — L’abolition de l’héritage. — L’instrument du travail. — D’où viennent ces rêveries. — Matérialisme et négation de la vérité. — Tous les socialistes sont des prêtres. — L’édifice catholique. — L’Internationale. — Résultat analogue. — Suppression de l’idée de patrie. — Le souffle juif. — La haine mutuelle. — Les anciens chrétiens. — Du rêve à l’action il y a loin. — But identique, moyens différents. — Religion composée de schismes. — Discipline de fait et non pas discipline organisée. — Histoire de l’élection Barodet. — La politique est indifférente au peuple de Paris. — Opposition sociale. — Le feu partout. — Le suffrage universel. — Les décrets futurs. — Le salut possible. — État général morbide. — Application scientifique. — Premier acte : l’acide sulfurique. — Second acte : les huiles minérales. — Noche triste. — Le futur troisième acte : les matières explosibles. — L’armée du meurtre. — Di omen avertant ! — La guerre étrangère et la guerre civile. — Paris se suicidera. — Le mot de Mazarin. — La mort violente des capitales. — L’âme des villes. — L’âme de Paris appartient à l’humanité.

Chateaubriand, qui croyait volontiers que tout allait mourir parce qu’il mourait, a écrit : « La France, la plus mûre des nations actuelles, s’en ira vraisemblablement la première ; il ne serait pas étonnant qu’un peuple âgé de quatorze siècles, qui a terminé cette longue