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Page:Gauss - Recherches arithmétiques, traduction Poullet-Delisle, 1807.djvu/277

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ARITHMÉTIQUES.

On prouvera en outre, par un calcul semblable à celui du no précédent, que si renferme proprement, les formes , entreront dans la transformation de en de la même manière que dans la transformation de en et que dans le cas contraire, elles entreront d’une manière inverse.

En combinant le présent théorème avec celui du no précédent, nous obtenons le suivant, qui est plus général :

Si une forme est transformable en que renferment les formes respectivement, et que renferme sera transformable en

En effet, par le théorème du no présent, se changera en , donc par le théorème du no précédent, se changera en et de même en . Or il est évident que si les trois formes , , renferment proprement les trois formes , , , se composera de la même manière en que en  ; de même, si les trois premières renferment improprement les trois dernières ; et enfin on déterminera facilement de quelle manière doit se composer de , , si une des transformations est différente des deux autres.

Si les formes , , sont équivalentes aux formes , , , respectivement, les premières auront les mêmes déterminans que les dernières, et (no 161) et seront pour , ce qu’ils sont pour , . D’où il suit, par la quatrième conclusion du no 235, que si est composée de , , sera aussi composée de , , et même que la forme entre dans cette dernière composition comme dans la première, si ,  ; , sont équivalentes de la même manière, ou au contraire. De même à l’égard de et .

239. Théorème. Si la forme est composée des formes toute forme qui pourra se transformer en de la même manière que renfermera proprement cette dernière.

Conservons toujours pour , , les signes du no 235, et supposons que la forme , dont le déterminant se change en par la substitution , , , , , , , et