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RECHERCHES
La forme ne peut être soumise à l’une ni à l’autre des deux
réductions.
274. Quand on a une forme ternaire dont le premier coefficient, ainsi que le troisième de la forme adjointe, sont abaissés
autant que possible par la méthode précédente, on obtiendra
comme il suit une plus grande réduction.
En conservant toujours la notation du no 172, et posant ,
, , , ,, c’est-à-dire en employant
la substitution
on aura
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,
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,
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;
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,
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|
,
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|
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et en outre , , .
Ainsi, par cette substitution les coefficiens , , qui sont
déjà réduits, ne changeront pas ; il ne reste plus qu’à diminuer
les autres coefficiens en déterminant convenablement les valeurs
de , , .
Observons d’abord que si l’on a , on doit avoir aussi
; car si a n’était pas , la première réduction serait
encore applicable, puisqu’à toute forme de déterminant répond une forme équivalente telle que (no 215), et dont
parconséquent le premier terme . De la même manière, si
, on aura , ainsi les deux nombres et seront
tous deux nuls, ou aucun des deux ne le sera.
Dans le second cas, il est évident que , , peuvent être
déterminés de manière que , , ne soient pas plus grands
que , , respectivement. Ainsi dans le premier exemple
du no précédent, la dernière forme , qui a pour adjointe , se change, par la substitution
en la forme , qui a pour adjointe