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ARITHMÉTIQUES.
les fois qu’il en résulte une fraction, il suffit de multiplier les
valeurs de , , par le dénominateur de la fraction, et l’on
obtient une solution entière. On doit seulement exclure les valeurs
de , qui rendraient , à moins qu’elles ne rendissent aussi , auquel cas peut être
pris arbitrairement. On voit en même temps que de cette manière
on obtient toutes les solutions possibles. Au reste, le cas où
sort de nos considérations ; car n’entre plus dans la
forme, c’est-à-dire que est une forme binaire, et que l’on peut
juger par la théorie des formes binaires si zéro est représentable
par elle.
II. Mais quand n’est pas , l’équation revient à
en posant , , .
Or quand , et que l’on n’a pas , il est évident
que si et sont pris arbitrairement, et
obtiennent des valeurs rationnelles, et si elles ne sont pas entières, un multiplicateur convenable donnera des entiers. Il n’y
a que lorsque l’on prend que n’est plus
arbitraire ; il doit être aussi . La valeur de peut être prise
arbitrairement et produira des valeurs rationnelles pour . Quand
on a à-la-fois , , il est clair que dans le cas où
est un quarré , l’équation est décomposable en deux équations linéaires (dont l’une ou l’autre doit avoir lieu),
mais si, dans la même hypothèse, n’est pas un quarré, il est
évident que la solution de l’équation proposée dépend des équations qui doivent avoir lieu en même temps.
Au reste, il est à peine nécessaire d’observer que la méthode
du paragraphe I s’appliquerait de même quand ou ,
et celle du paragraphe II, quand .
III. Mais quand on n’a ni , ni , l’équation peut se mettre sous la forme