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ARITHMÉTIQUES.
Or si le théorème n’était pas vrai pour les autres valeurs de ,
restant il y aurait nécessairement une limite jusqu’à laquelle le
théorème serait vrai, et passé laquelle il serait faux. Soit la plus
petite valeur de qui se refuse au théorème. On voit facilement que
le théorème est vrai si est divisible par et non par mais
que si l’on substitue à la place de il ne l’est plus. On a donc
ou
étant un nombre entier quelconque ; mais comme le théorème est
déjà démontré pour on aura
et partant
c’est-à-dire que le
théorème est encore vrai si on substitue au lieu de ou au lieu de contre l’hypothèse ; donc le théorème est vrai pour toutes
les valeurs de
87. Il reste le cas où Par une méthode absolument semblable à celle de l’article précédent, on démontrera, sans faire usage
du développement du binôme, que
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, etc. ; |
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donc (puisque le nombre des termes est ) la somme sera
mais, comme est divisible par ,
le sera aussi, excepté le cas où , que nous avons exclu, et dans
les autres cas, la somme sera puisque
est divisible par Le reste de la démonstration est
comme dans l’article précédent.
Il résulte de là généralement qu’en exceptant le cas où on a
et non pour un module
qui est une puissance de plus haute que , pourvu toutefois