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LIVRE I, SECTION II.
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L’ascension droite et la déclinaison d’un point quelconque de la
sphère céleste se déduisent de sa latitude et de sa longitude par la
résolution d’un triangle sphérique formé par les arcs qui joignent
les pôles de l’écliptique, de l’équateur et ce point. Soient l’obliquité
de l’écliptique, la longitude, la latitude, l’ascension droite, la
déclinaison, les côtés du triangle seront alors on
pourra prendre et pour angles opposés au second et
au troisième côté (si nous concevons la forme du triangle sphérique
dans sa plus grande généralité) ; nous poserons le troisième angle opposé au côté .
Nous aurons alors, par les formules de l’art. 54 :
Les deux premières équations donneront et
les deux dernières et De et
on aura en même temps et de ou
dont l’accord servira à confirmer le calcul, on déterminera et
de là .
La détermination des angles par leurs tangentes n’est pas sujette à ambiguïté, puisque non-seulement le sinus,
mais aussi le cosinus de l’angle doit être positif.
Les variations différentielles des quantités obtenues d’après
les variations de et selon les principes connus, sont