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LIVRE II, SECTION I.
par un grand cercle, et à déterminer son intersection avec le
grand cercle Soient cette intersection, et sa distance au
point soient aussi sa longitude, et sa latitude. Nous avons
alors, puisque les points sont situés sur le même grand
cercle, l’équation bien connue
qui, en substituant à la place de prend la
forme suivante :
C’est pourquoi, puisque nous
aurons
De là dérivent les formules suivantes, accommodées le mieux au
calcul numérique. En posant
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on aura (art. 14, II),
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L’ambiguïté dans la détermination de l’arc par la tangente provient de ce que les grands cercles se coupent en
deux points ; nous adopterons toujours pour l’intersection voisine
du point de telle sorte que tombe toujours entre les limites
et d’après quoi cette ambiguïté est écartée.
Le plus souvent alors, la valeur de l’arc (qui dépend de la
courbure du mouvement géocentrique) sera une quantité assez petite,
et même, généralement parlant, du second ordre, si les intervalles de
temps sont considérés comme des quantités de premier ordre.
D’après la remarque de l’article précédent, on verra immédiatement
quelles modifications devra subir le calcul si, à la place de l’écliptique, on choisit l’équateur comme plan fondamental.