Il en est de même pour l’hyperbole, ainsi que cela se voit immédiatement, en mettant l’expression donnée dans l’art. 32, VII, sous la forme
La table suivante donne les valeurs maxima de cette expression pour quelques valeurs particulières de
ERREUR maximum | |||
10° | 1,192 | 0,839 | 8″,66 |
20° | 1,428 | 0,700 | 1″,38 |
30° | 1,732 | 0,577 | 0″,47 |
40° | 2,144 | 0,466 | 0″,22 |
50° | 2,747 | 0,364 | 0″,11 |
60° | 3,732 | 0,268 | 0″,06 |
70° | 5,671 | 8,176 | 0″,02 |
Toutes les fois donc que ou dépasse ou (cas qui ne se rencontre pas facilement pour les orbites peu différentes de la parabole, parce qu’alors les astres qui décrivent de pareilles courbes se dérobent le plus souvent à nos regards à cause de leur grande distance au Soleil) il n’y a aucune raison d’abandonner la méthode générale. Au reste, dans ce cas-là, les séries que nous avons employées dans l’art. 34, convergeraient trop lentement : on peut donc ne point regarder comme un défaut de la méthode que nous allons maintenant expliquer, qu’elle s’applique particulièrement aux cas dans lesquels ou ne dépasse pas encore des valeurs modérées.
Reprenons, dans le mouvement elliptique, l’équation entre l’anomalie excentrique et le temps
dans laquelle nous supposons exprimé en parties du rayon. Nous