Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/71

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Un passant assailli crie, appelle au secours
En vain, grand Dieu ! j’entends la lutte et ses bruits sourds,
Puis un silence affreux entrecoupé d’un râle
Dans un fossé, tandis que la lanterne pâle,
Tressaillant par moments aux doux frissons de l’air,
Dans l’horreur de la nuit darde son regard clair.