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TABLE
rences, des convenances et des disconvenances des divers objets entre eux et avec nous.
Que tout jugement prononcé d’après la comparaison des objets physiques n’est qu’une pure sensation ; qu’il en est de même de tout jugement porté sur les idées abstraites, collectives, etc.
Chap. V. Des jugements qui résultent de la comparaison des idées abstraites, collectives, etc.,
Que cette comparaison suppose attention, peine, par conséquent intérêt pour se la donner.
Chap. VI. Point d’intérêt, point de comparaison des objets entre eux,
Que tout intérêt prenant sa source dans la sensibilité physique, tout dans l’homme se réduit à sentir.
Chap. VII. Que la sensibilité physique est la cause unique de nos actions, de nos pensées, de nos passions, et de notre sociabilité,