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SOMMAIRE.

Chap. XX. De l’impression des arts d’agrément sur l’opulent oisif,
Qu’ils ne peuvent l’arracher à son ennui.
Que les plus riches sont en général les plus ennuyés, parcequ’ils sont passifs dans presque tous leurs plaisirs.
Chap. XXI. De l’état actif et passif de l’homme,
Que les plaisirs où l’homme est passif sont en général et les plus courts et les plus coûteux.
Chap. XXII. C’est aux riches que se fait le plus vivement sentir le besoin des richesses,
Que presque tous croupissent dans la paresse, faute d’avoir contracté de bonne heure l’habitude du travail.
Chap. XXIII. De la puissance de la paresse,
Qu’elle est souvent dans l’homme le principe de ses vices et de ses malheurs.
Chap. XXIV. Une fortune médiocre