Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 6.djvu/217

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
l’une religieuse, et l’autre politique : connaissance propre à répandre de nouvelles lumières sur la science de la morale.
Chap. XV. De quelle utilité peut être à la morale la connoissance des principes établis dans les chapitres précédents,
L’objet de ce chapitre est de prouver que c’est de la législation meilleure ou moins bonne que dépendent les vices ou les vertus des peuples ; et que la plupart des moralistes, dans la peinture qu’ils font des vices, paroissent moins inspirés par l’amour du bien public que par des intérêts personnels ou des haines particulières.
Chap. XVI. Des moralistes hypocrites,
Développement des principes précédents.
Chap. XVII. Des avantages qui résultent des principes ci-dessus établis,
Ces principes donnent aux particuliers, aux peuples, et même aux législateurs, des idées plus nettes de la vertu, facilitent les