Page:Joseph Marchand - L'Université d'Avignon aux XVIIe et XVIIIe siècles.djvu/108

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tion les bons offices du nonce à Paris[1]. Ils pensaient sans doute, et non sans raison, qu’il n’est si bonne cause qui ne paraisse meilleure encore, défendue par d’éminents avocats.

    la mort de M. d’Argenvilliers, le Collège ait négligé de demander la protection de quelque illustre prélat. Il propose le cardinal Salviati, ancien légat, dont la puissance, le rang et les vertus lui donnent grand crédit auprès du Souverain Pontife ; il est unanimement délibéré de le prier d’accepter ce titre. (A. V. D 35, fo 262.) Cf. au 27 nov. une lettre de Salviati acceptant la « protectorie » de l’Université (Ibid., fo 275).

  1. A. V. D 31, fo 178 ; D 39, fos 37, 54, 84, 97, 115, 137.