Page:La Retraite de Laguna (Plon 1891).djvu/42

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d’abord pas guéable. — Quelques hommes le passent cependant à la nage et apportent la bonne nouvelle de l’existence d’un grand bois d’orangers couverts de fruits mûrs. — Les chasseurs reçoivent l’ordre de tenter le passage en corps. — Ils réussissent. — Mort du lieutenant-colonel Juvencio. — Mort du colonel Camisão. — Il est remplacé dans le commandement par J. T. Gonçalvès. — Un va-et-vient est établi sur la rivière. — Les oranges arrivent en abondance. — Leur effet bienfaisant sur les affamés et les cholériques. 
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La confiance renaît. — La discipline se rétablit. — Passage du Miranda. — Les canons. — Encore l’ennemi. — On lui prend quelques bœufs qui sont d’une grande ressource. — Marche forcée. — On fait sept lieues ! — Canindé. 
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Marche sur Nioac qui n’est plus qu’à deux lieues de distance. — L’ennemi rôde toujours autour de la colonne. — Le marchand italien Saraco. 
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Nioac. — Déception ; il a été pillé, incendié et presque entièrement détruit par les Paraguéens. — Infernale ruse de guerre. — L’ennemi disparaît définitivement — Rentrée paisible du corps d’armée. — Ordre du jour sur cette campagne de trente-cinq jours. 
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El semanario
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FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.