Page:La Retraite de Laguna (Plon 1891).djvu/41

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La marche continue. — L’ennemi prend l’avance. — Nouveau sacrifice de bagages. — Les vivres manquent. — Incendies et orages de pluies dans la prairie. — Escarmouches incessantes. 
 141
Incertitude sur la route à suivre. — Nouvel incendie, nouvelle attaque des Paraguéens. — Elle est repoussée. — Dénuement de la colonne. — On retrouve la route. — Passage de la rivière des Croix. — La marche est reprise. — Nouveau passage de rivière. — La famine se fait sentir. — Les femmes qui suivent la colonne. 
 156
Lueur d’espérance aussitôt évanouie. — Le choléra. — L’ennemi reparaît. — Toujours l’incendie. — Le choléra redouble. — Une ressource, les choux palmistes. — Terrible passage d’un marais. — Le lieutenant dos Santos Soïza. — Bivouac ; on réussit à allumer des feux. 
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Arrivée sur les limites de la propriété du guide Lopès. — Passage du Prata. — L’ennemi suit toujours, mais poursuit mollement. — Ravages du choléra — Perplexités du colonel Camisão. — On abandonne les malades. — La séparation. — Le lieutenant-colonel Juvencio, le colonel Camisão sont pris à leur tour par la maladie. — Mort du fils de Lopès. — On continue à marcher. — Arrivée sur la ferme de Lopès ; il y meurt du choléra. — Son tombeau. 
 187
Arrivée sur les bords du Miranda. — L’ennemi se tient à distance pour éviter la contagion du choléra. — Le Miranda n’est