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Labé - Élégies et Sonnets, Sansot, 1910.djvu/102
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100
LOUISE LABÉ
Sonnets
I
Non hauria Ulysse o qualunqu’altro mai
65
II
Ô beaux yeux bruns, ô regars destournez
66
III
Ô longs desirs, ô esperances vaines
67
IIII
Depuis qu’Amour cruel empoisonna
68
V
Clere Venus, qui erres par les Cieus
69
VI
Deus ou trois fois bienheureus le retour
70
VII
On voit mourir toute chose animee
71
VIII
Ie vis, ie meurs : ie me brule et me noye
72
IX
Tout aussi tot que ie commence à prendre
73
X
Quand i’aperçoy ton blond chef couronné
74
XI
Ô dous regars, ô yeus pleins de beauté
75
XII
Lut, compagnon de ma calamité
76
XIII
Oh si i’estois en ce beau sein rauie
77
XIIII
Tant que mes yeus pourront larmes espandre
78
XV
Pour le retour du Soleil honorer
79
XVI
Apres qu’un tems la gresle et le tonnerre
80
XVII
Ie fuis la vile, et temples, et tous lieus
81
XVIII
Baise m’encor, rebaise moy et baise
82
XIX
Diane estant en l’espesseur d’un bois
83
XX
Predit me fut, que deuois fermement
84
XXI
Quelle grandeur rend l’homme venerable
85
XXII
Luisant Soleil, que tu es bien heureus
86
XXIII
Las ! que me sert, que si parfaitement
87
XXIIII
Ne reprenez, Dames, si i’ay aymé
88
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