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Page:Lamarck - Philosophie zoologique 1.djvu/458

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tions que l’influence de mouvemens de divers fluides sur des corps souples, que ces fluides modifient, organisent et animent.
CHAPITRE PREMIER.
Que la différence est grande entre l’état des corps vivans et celui des corps inorganiques. Que les animaux sont essentiellement distingués des végétaux par l’ Irritabilité que les premiers possèdent exclusivement, et qui permet à leurs parties de faire des mouvemens subits et répétés de suite autant de fois que des causes excitantes les provoquent, ce qui ne sauroit avoir lieu à l’égard d’aucun végétal.
CHAPITRE II.
Que la vie en elle-même n’est qu’un phénomène physique, qui donne graduellement lieu à beaucoup d’autres, et qui résulte uniquement des relations qui existent entre les parties contenantes et appropriées d’un corps, les fluides contenus qui y sont en mouvement, et la cause excitatrice des mouvemens et des changemens qui s’y opèrent.
FIN DE LA TABLE DU TOME PREMIER.