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LVII. 
Ce que dit un auteur du Gouvernement tyrannique des Rois de France 
LVIII. 
Il n’est permis à aucun Roi de tyranniser les peuples, ni de mettre de leur autorité aucun impôt sur eux sans le consentement des états 
LIX. 
Ce que disent les flateurs des rois et des princes sur ce sujet 
LX. 
Septième preuve de la vanité et de la fausseté des religions, tirée de la fausseté même de l’opinion des hommes touchant la prétendue existence des Dieux 
LXI. 
La plupart des savans et des sages de l'antiquité ont nié ou révoqué en doute l’existence des Dieux 
LXII. 
D’où vient la première croïance et connoissance des Dieux 
LXIII. 
Les Déicoles ont été enfin oubligés de reconnoître la fausseté de la pluralité des Dieux. 
LXIV. 
Ils ne sont pas mieux fondés dans la croïance de l’existence d’un seul Dieu 
LXV. 
Ni la beauté, ni l’ordre, ni les perfections qui se trouvent dans les ouvrages de la nature ne prouvent nullement l’existence d’un Dieu, qui les auroient faites 
LXVI. 
Idée chimérique que les Déicoles se forment de leur Dieu 
LXVII. 
Il est inutile de recourir à l’existence d'un Dieu tout-puissant pour expliquer la nature et la formation des choses naturelles 
LXVIII. 
L’être ne peut avoir été créé 
LXIX. 
La possibilité ou l’impossibilité des choses ne dépendent point de la volonté ni de la puissance d’aucune cause 
LXX. 
Pareillement les premières et fondamentales vérités sont éternelles et ne dépendent d’aucun