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XII. 
— Inauguration du chemin de fer et ouverture de l’exploitation. — Le cyclone d’avril 1905. — Caisse de retraites et pensions pour les fonctionnaires civils de la colonie. — Liberté des contrats de travail pour les indigènes. — Envoi d’une mission dans les colonies sud-africaines. — Ressources agricoles de Madagascar en 1905 ; superficies cultivées. — Industries européennes et indigènes ; la sériciculture, la chapellerie et la dentelle. — Concours agricole de 1905. — Préparation de l’Exposition coloniale de Marseille. — Statistiques commerciales. — Situation politique et militaire ; les effectifs ; la défense de la colonie ; le point d’appui de Diégo-Suarez. — Retour en France. — Résignation de mes fonctions en novembre 1905. 
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CE QUE L’ON VOIT EN ARMÉNIE
par M. NOËL DOLENS
I. 
— À la recherche des Arméniens. — Ils sont en minorité en Arménie. — Leur ombre. — Difficulté de donner une statistique exacte en Turquie. — Ce qu’est l’Arménie. — Description générale du pays. — Plateaux, montagnes et fleuves. — La rigueur de l’hiver est le fléau de l’Arménie. — Tremblements de terre. — Les routes. — Difficultés des communications. 
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II. 
— La culture. — L’abondance des céréales. — Charrues primitives. — Bœufs et buffles. — La viande est rare. — Le mouton, grande exploitation du pays. — Les Arméniens, artisans ordinaires, mais commerçants habiles. — Le commerce de l’Arménie. — Richesses minérales. — Le brigandage, plaie de l’Orient. — Ce que l’Occident pourrait faire en Arménie. 
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III. 
— Les villes, les villages et les habitations. — Absence de meubles en bois. — Le confortable et l’hygiène inconnus. — Rareté des jardins. — Les boutiques des marchands. — Les bazars. — Les costumes. — Pantalons. — Ceintures. — Coiffures. — Indolence et désordre. — Impossibilité de circuler vite si l’on est pressé. — Conditions d’existence et usages. 
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IV. 
— Les monuments. — Les influences qui ont marqué leur empreinte sur les édifices : Assyrie, Byzance. — Interprétation par les Arméniens. — La cathédrale d’Asie. — Etchmiadzine. — Arabesques. — Niches montant de la base au toit. — Style ogival. — Le style arméno-géorgien. — L’Église d’Aktaman. — Influence persane. — Constructions turques. — Monuments arabes. — Chapelles et édifices funéraires. — Manuscrits. — Les Khans sur la route de Mossoul. — Châteaux forts. — L’infériorité des Arméniens se trahit dans toutes leurs productions. — Les races de l’Orient sont le résultat de mélanges inextricables, néanmoins on peut différencier les origines. — Le Turc moderne. — Le peuple et les fonctionnaires. — Le clergé. 
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V. 
— Les races. — Les Turcs. — Les femmes turques. — Leur réclusion et leur pauvre développement intellectuel. — Les Arméniens. — Carrure de leur visage. Ressemblance avec les Juifs. — Les Arméniennes, leur existence diffère peu de celle des musulmanes. — Banalité de leur conversation. — Il faudrait faire l’éducation des Arméniennes. — Les Arméniennes sont moins opprimées par les Turcs qu’on ne le croit. — Les Kurdes. — Leur organisation en tribus. — Leurs chefs où begs. — Ce sont eux qui sont responsables de la « question » arménienne. — Les mœurs. — Les trois races en présence : Turcs, Kurdes et Arméniens. — Similitude des mœurs dans les classes inférieures. — Vie pastorale devenue patriarcale. — Dédain de tout procédé de culture artificiel ou mécanique. 
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VI. 
— Les mœurs. — Égoïsme étroit engendré par la vie pastorale. — Comment on sollicite la faveur d’un puissant personnage. — Le Turc se croit bien supérieur au chrétien. — Influences religieuses. — Fatalisme et mysticisme. — Le culte extérieur seul en usage dans l’église arménienne et dans la mosquée turque. — Missionnaires catholiques et protestants. — Œuvres d’assistance. 
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EN TRAVERSANT LA RÉPUBLIQUE DE COSTA-RICA
par M. SAILLARD
I. 
Nous abordons au Costa-Rica par Punta Arenas. — Un mélange de races. — En route pour San José, capitale de la République. — Voies ferrées et voies peu praticables. — San José, ville d’aspect européen aux idées nord-américaines. — Une promenade dans la ville. — Un théâtre sans acteurs. — Les étrangers au Costa-Rica. — Le gouvernement, l’instruction, l’armée, la police. — Les communications. 
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VOYAGE AUX PAYS DU CACAO ET DU SUCRE DE CANNE
par M. TH. DUFAU
I. 
— Ma mission ; ses causes ; son objet. — Départ de la Pointe-à-Pitre. — La Martinique. — Sainte-Lucie. — La Barbade. — La police. — La capitale. — Densité de la population. — Coup d’œil sur l’histoire. — Patriotisme des colons. — Agriculture de la Barbade. — Les sucreries. — L’ « Imperial department of Agriculture ». — Les appointements des fonctionnaires. — L’exportation des bananes. — L’incident de Fachoda à la Barbade. — Les noirs des Antilles. — La station expérimentale de Dodds. — Les sports. 
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II. 
— Arrivée à Georgetown. — Les « seedlings ». — L’industrie sucrière. — L’immigration indienne. — Visite de plantations. — Le parti des noirs. — Organisation administrative. — Régime des prisons. — Les plantations de cacao sur les bords du Dernerara. — Faune de la Guyane. — Découvertes. — Mines d’or et de diamant. — Exploitations forestières. — Le balata. — Hydrographie de la Guyane — Irrigation des terres en culture. — District du nord-ouest. 
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III. 
— Port-d’Espagne. — Influence française. — Découverte et colonisation de l’île. — Accroissement de la fortune publique. — Les nouvelles routes. — Comment les colonies anglaises réalisent leurs emprunts. — Politique de l’Angleterre ; son libéralisme en matière commerciale. — La Commission d’enquête de 1897 — Baisse de la production du sucre. — Culture du cacaoyer : son importance pour la Trinidad. — L’arrivée d’un convoi d’immigrants hindous. — La main-d’œuvre. — Organisation administrative. — Le Conseil législatif. — Les usines à sucre. — La ferme-modèle. — Excursion dans le district de Pool. — Le caoutchouc à la Trinidad. — Dernières journées. — Conclusion. 
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