Livre:Le Tour du monde, nouvelle série - 12b.djvu

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JournalLe Tour du monde Voir l'entité sur Wikidata
Sous-titreJournal des voyages et des voyageurs
VolumeNouvelle série, 12e année, 2nd semestre
Maison d’éditionLibrairie Hachette et Cie
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1906
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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AvancementÀ corriger
Série 1 ,  2 ,  3 ,  4 ,  5 ,  6 ,  7 ,  8 ,  9 ,  10 ,  11 ,  12 ,  13 ,  14 ,  15 ,  16 ,  17 ,  18 ,  19 ,  20 ,  21 ,  22 ,  23 ,  24 ,  25 ,  26 ,  27 ,  28 ,  29 ,  30 ,  31 ,  32 ,  33 ,  34 ,  35 ,  36 ,  37 ,  38 ,  39 ,  40 ,  41 ,  42 ,  43 ,  44 ,  45 ,  46 ,  47 ,  48 ,  49 ,  50 ,  51 ,  52 ,  53 ,  54 ,  55 ,  56 ,  57 ,  58 ,  59 ,  60 ,  61 ,  62 ,  63 ,  64 ,  65 ,  66 ,  67 ,  68 
Nouvelle série :  1 ,  2 ,  3 ,  4 ,  5 ,  6 ,  7 ,  8 ,  9 ,  10 ,  11 ,  12a ,  12b ,  13 ,  14 ,  15 ,  16 ,  17 ,  18 ,  19 ,  20 

Pages



UN VOYAGE EN NUBIE
par M. E. AMÉLINEAU
I. 
— Assouan. — Les forçats. — L’embarquement. — La Nubie, sa population. — Les femmes nubiennes. — Caractère sociable des Nubiens. — Paysages nubiens. 
 313
II. 
— Lever de soleil à Korosko. — Temples de Nubie. — Le grand temple d’Abou Simbel. — Baiser du Soleil aux grands dieux de l’Égypte. — Retour. 
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DEUX ANS CHEZ LES MOÏS
par M. le capitaine BAUDESSON
I. 
— La vie joyeuse à Phang Rang. — Mon départ pour une mission dans la chaîne annamitique. — Première rencontre des Moïs. — Notre arrivée à Dran sur le Da Nhim. — Le topographe intendant. — Dans le village moï voisin du poste. — Médecin improvisé. — Quelques renseignements sur l’origine des Moïs. — Pêche à la dynamite dans les eaux du Da Nhim. 
 337
II. 
— Distractions des coolies. — Un groupement communiste. — Tribunal d’arbitrage. — Reconnaissance dans la forêt. — L’enfant moï. — Mutilations ethniques. — Jeune tigre capturé. — Le stéréoscope chez les Moïs. — L’’entente cordiale. — Sacrilice aux ancêtres. 
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III. 
— Le sanatorium du Lang Biang et la colonie européenne. — Notes anthropologiques. — Chasse à l’éléphant. — Une séance de phonographe. — Sorcellerie et envoûtement. — Mariage moï. — Expédition contre les indépendants. — Armes et poisons. 
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IV. 
— Un Cayenne annamite. — Mi me demande son congé. — Une séance de tachéomètre. — L’épreuve de l’eau bouillante. — Le jeu de l’amateur de cochons. — Le tigre dévore un de nos coolies. — Un canard indigeste. — Enterrement moï. — Départ pour le pays cham. 
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NEUF ANS À MADAGASCAR
par le général GALLIÉNI
VII. 
— Séjour en France. — Le projet du chemin de fer au Parlement ; vote de la loi accordant les crédits. — La défense de Diégo-Suarez devant les Chambres ; prévision d’un crédit de 10 millions de francs pour l’exécution des travaux. — Madagascar à l’Exposition universelle de 1900. — La situation générale en 1899-1900. — Retour dans la colonie. — Le colonel Joffre à Diégo. — Voyage à Mévétanana. — Création du commandement supérieur du sud ; voyage à Fianarantsoa. — Ouverture de la route de l’Est. — Suppression du régime des prestations. 
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VIII. 
— L’expansion française en 1901. — L’administration civile se substitue progressivement à l’administration militaire. — L’enseignement et l’assistance médicale. — Progrès de l’agriculture ; analyses de MM. Müntz et Rousseaux. — Les exploitations forestières. — La sériciculture. — L’élevage du cheval. — L’industrie minière. — Concours agricole à Tananarive. — Troisième voyage autour de l’île. — Visite aux chantiers du chemin de fer. — Les travaux de défense à Diégo-Suarez. — Séjour à Majunga et Analalava. — Les escales en territoire sakalave : Soalala, Maintirano, Morondava ; séjour à Tuléar, Fort-Dauphin et Farafangana. — Les opérations militaires du commandement supérieur du Sud ; résultats obtenus à la fin de 1901. — Retour à Tananarive. — Inauguration du monument élevé à la mémoire des soldats et marins français morts à Madagascar. 
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IX. 
— Développement dans un sens libéral de l’organisation administrative européenne et indigène. — Les colons au Conseil d’administration. — La Chambre d’agriculture. — Le concours agricole de 1902. — Extension des attributions des Fokon’olonas. — Remaniement de la législation minière ; le décret du 20 février 1902. — Les travaux géodésiques et topographiques. — L’Académie malgache. — Pénétration en pays mahafaly. — Suppression du Commandement supérieur du Sud. — Résultats obtenus. — La peste à Majunga. — Au lazaret de Katsepé. — L’œuvre du général Joffre à Diégo. — Séjour à Tamatave ; visite aux concessions européennes, au jardin d’essais et à la cocoterie de Vohidrotra. — Inauguration du premier tronçon du chemin de fer. 
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X. 
— Voyages aux pays sihanaka et bezanozano et dans la région d’Antsirabé-Betalo ; ressources de ces contrées. — Inauguration du monument de Jean Laborde à Tananarive. — Réorganisation administrative ; rôle attribué aux fonctionnaires indigènes. — L’enseignement des enfants européens. — Les automobiles. — Le service vétérinaire ; l’exportation des bœufs. — Les autruches à Tuléar. — Exposition chevaline, réunions hippiques. — Les industries de la femme malgache. — Progrès de l’industrie minière. — Inspection côtière en 1903 ; la situation économique à Majunga et à Tamatave. — Fête franco-italienne à Tamatave. — Le tunnel de Vongo-Vongo. — Les chutes de Koma. — Rentrée à Tananarive. 
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XI. 
— Organisation définitive de l’Assistance médicale et de l’Enseignement officiel. — Application aux peuplades sakalaves et mahafaly du régime des protectorats intérieurs. — Mouvement insurrectionnel dans le sud-est de l’île. — Influence des sorciers. — Instructions données aux troupes chargées du rétablissement de l’ordre. — Héroïque fait d’armes du sergent Casalonga. — La refonte du système fiscal. — Enquête sur les coutumes des populations malgaches. — Voyage dans la région de Miarinarivo et du lac Itasy. — Visite aux chantiers aurifères de Vohinambo. — La production de l’or à Madagascar pendant les neuf dernières années (1896-1904). — Nouvelle inspection des côtes. — Séjour à Diégo-Suarez et à Majunga. — La culture du coton. — Développement agricole et commercial de Nossi-Bé. — Séjour à Tamatave. — Visites de concessions. — Voyage à l’île de la Réunion. 
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XII. 
— Inauguration du chemin de fer et ouverture de l’exploitation. — Le cyclone d’avril 1905. — Caisse de retraites et pensions pour les fonctionnaires civils de la colonie. — Liberté des contrats de travail pour les indigènes. — Envoi d’une mission dans les colonies sud-africaines. — Ressources agricoles de Madagascar en 1905 ; superficies cultivées. — Industries européennes et indigènes ; la sériciculture, la chapellerie et la dentelle. — Concours agricole de 1905. — Préparation de l’Exposition coloniale de Marseille. — Statistiques commerciales. — Situation politique et militaire ; les effectifs ; la défense de la colonie ; le point d’appui de Diégo-Suarez. — Retour en France. — Résignation de mes fonctions en novembre 1905. 
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CE QUE L’ON VOIT EN ARMÉNIE
par M. NOËL DOLENS
I. 
— À la recherche des Arméniens. — Ils sont en minorité en Arménie. — Leur ombre. — Difficulté de donner une statistique exacte en Turquie. — Ce qu’est l’Arménie. — Description générale du pays. — Plateaux, montagnes et fleuves. — La rigueur de l’hiver est le fléau de l’Arménie. — Tremblements de terre. — Les routes. — Difficultés des communications. 
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II. 
— La culture. — L’abondance des céréales. — Charrues primitives. — Bœufs et buffles. — La viande est rare. — Le mouton, grande exploitation du pays. — Les Arméniens, artisans ordinaires, mais commerçants habiles. — Le commerce de l’Arménie. — Richesses minérales. — Le brigandage, plaie de l’Orient. — Ce que l’Occident pourrait faire en Arménie. 
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III. 
— Les villes, les villages et les habitations. — Absence de meubles en bois. — Le confortable et l’hygiène inconnus. — Rareté des jardins. — Les boutiques des marchands. — Les bazars. — Les costumes. — Pantalons. — Ceintures. — Coiffures. — Indolence et désordre. — Impossibilité de circuler vite si l’on est pressé. — Conditions d’existence et usages. 
 481
IV. 
— Les monuments. — Les influences qui ont marqué leur empreinte sur les édifices : Assyrie, Byzance. — Interprétation par les Arméniens. — La cathédrale d’Asie. — Etchmiadzine. — Arabesques. — Niches montant de la base au toit. — Style ogival. — Le style arméno-géorgien. — L’Église d’Aktaman. — Influence persane. — Constructions turques. — Monuments arabes. — Chapelles et édifices funéraires. — Manuscrits. — Les Khans sur la route de Mossoul. — Châteaux forts. — L’infériorité des Arméniens se trahit dans toutes leurs productions. — Les races de l’Orient sont le résultat de mélanges inextricables, néanmoins on peut différencier les origines. — Le Turc moderne. — Le peuple et les fonctionnaires. — Le clergé. 
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V. 
— Les races. — Les Turcs. — Les femmes turques. — Leur réclusion et leur pauvre développement intellectuel. — Les Arméniens. — Carrure de leur visage. Ressemblance avec les Juifs. — Les Arméniennes, leur existence diffère peu de celle des musulmanes. — Banalité de leur conversation. — Il faudrait faire l’éducation des Arméniennes. — Les Arméniennes sont moins opprimées par les Turcs qu’on ne le croit. — Les Kurdes. — Leur organisation en tribus. — Leurs chefs où begs. — Ce sont eux qui sont responsables de la « question » arménienne. — Les mœurs. — Les trois races en présence : Turcs, Kurdes et Arméniens. — Similitude des mœurs dans les classes inférieures. — Vie pastorale devenue patriarcale. — Dédain de tout procédé de culture artificiel ou mécanique. 
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VI. 
— Les mœurs. — Égoïsme étroit engendré par la vie pastorale. — Comment on sollicite la faveur d’un puissant personnage. — Le Turc se croit bien supérieur au chrétien. — Influences religieuses. — Fatalisme et mysticisme. — Le culte extérieur seul en usage dans l’église arménienne et dans la mosquée turque. — Missionnaires catholiques et protestants. — Œuvres d’assistance. 
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EN TRAVERSANT LA RÉPUBLIQUE DE COSTA-RICA
par M. SAILLARD
I. 
Nous abordons au Costa-Rica par Punta Arenas. — Un mélange de races. — En route pour San José, capitale de la République. — Voies ferrées et voies peu praticables. — San José, ville d’aspect européen aux idées nord-américaines. — Une promenade dans la ville. — Un théâtre sans acteurs. — Les étrangers au Costa-Rica. — Le gouvernement, l’instruction, l’armée, la police. — Les communications. 
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VOYAGE AUX PAYS DU CACAO ET DU SUCRE DE CANNE
par M. TH. DUFAU
I. 
— Ma mission ; ses causes ; son objet. — Départ de la Pointe-à-Pitre. — La Martinique. — Sainte-Lucie. — La Barbade. — La police. — La capitale. — Densité de la population. — Coup d’œil sur l’histoire. — Patriotisme des colons. — Agriculture de la Barbade. — Les sucreries. — L’ « Imperial department of Agriculture ». — Les appointements des fonctionnaires. — L’exportation des bananes. — L’incident de Fachoda à la Barbade. — Les noirs des Antilles. — La station expérimentale de Dodds. — Les sports. 
 541
II. 
— Arrivée à Georgetown. — Les « seedlings ». — L’industrie sucrière. — L’immigration indienne. — Visite de plantations. — Le parti des noirs. — Organisation administrative. — Régime des prisons. — Les plantations de cacao sur les bords du Dernerara. — Faune de la Guyane. — Découvertes. — Mines d’or et de diamant. — Exploitations forestières. — Le balata. — Hydrographie de la Guyane — Irrigation des terres en culture. — District du nord-ouest. 
 553
III. 
— Port-d’Espagne. — Influence française. — Découverte et colonisation de l’île. — Accroissement de la fortune publique. — Les nouvelles routes. — Comment les colonies anglaises réalisent leurs emprunts. — Politique de l’Angleterre ; son libéralisme en matière commerciale. — La Commission d’enquête de 1897 — Baisse de la production du sucre. — Culture du cacaoyer : son importance pour la Trinidad. — L’arrivée d’un convoi d’immigrants hindous. — La main-d’œuvre. — Organisation administrative. — Le Conseil législatif. — Les usines à sucre. — La ferme-modèle. — Excursion dans le district de Pool. — Le caoutchouc à la Trinidad. — Dernières journées. — Conclusion. 
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L’EXPLORATION DU GRAND CAÑON DU VERDON
(Basses-Alpes.)
par MM. E.-A. MARTEL ET A. JANET
I. 
— Les quatre cañons du Verdon ; ce qu’on peut en voir. — Route de Castellane à Moustiers ; la Palud. — Préparatifs d’exploration. — Prédictions d’impossibilité. — Le ravin de Baus. — À l’eau. — Le grand Étroit et la Baume-aux-Pigeons. — Portages et chavirages. — 2 kilomètres en sept heures. — L’Escalès. — Vers l’aval. — Un canot victime. — Les Baumes Feres. 
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II. 
— La Mescle. — Ralliement. — Étroits et portages. — La nuit du Maugué. — Le Pas de l’Imbut. — Dans le gouffre. — La grille du cañon. — De plus en plus grandiose. — Le naufrage au Cavalet. — Troisième nuit. — La sortie. — Splendeur du grand cañon. — La récidive (1906). — Moustiers-Sainte-Marie : la faïence et la chaîne de l’Étoile. — Les trop-pleins de Garruhy — Fontaine-l’Evêque. — Les abîmes de Canjuers. — Vues plongeantes sur le Verdon. — Le cañon de l’Artuby. 
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DEUX PEUPLADES ESPAGNOLES À DEMI SAUVAGES
(Les Jurdes et les Batuecas.)
par ANNA SEE
I. 
— Un peuple mis au ban de la nation. — Des sauvages à quelques lieues de Salamanque. — Comment on arrive aux Batuecas. — La petite ville de Sequero. — La Alberca, et les somptueux costumes de ses habitantes. — Civilisation rudimentaire. — La fête de Sainte-Marie-des-Neiges ; représentation théâtrale, course de taureaux, danses. — Un palais en liège : le couvent des Batuecas. 
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II. 
— Las Miestas, capitale des Jurdes. — Les Jurdanos opprimés et rançonnés par la Alberea. — Le Cabezo. — Le misérable et pittoresque hameau de Riomalo de Abajo. — Les maisons de Casares. — Grandeur sauvage du paysage et misère extrême des habitants. — Le pain considéré comme objet de luxe. — Carabusino, le village de monstres et de goitreux. — Les cratères du Gasco : ascension du volcan éteint. — Comment les Jurdanos expliquent les éruptions volcaniques. — Les Jurdes altas. — Granadilla, la vieille cité sarrasine. 
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