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Page:Ménard - Prologue d’une révolution, 1849.djvu/318

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veur du travail. — Ledru-Rollin promet satisfaction au Peuple. — Les délégués des clubs cherchent à faire évacuer la salle. — Buchez donne l’ordre de faire cesser le rappel. — Derniers efforts de Barbès et de Louis Blanc pour sortir le Peuple. — Huber prononce la dissolution de l’Assemblée nationale.

CHAPITRE XII. — Page 165.

Les Représentants quittent la salle des séances. — On propose un gouvernement provisoire. — Barbès et Albert sont entrainés à l’Hôtel-de-Ville par le Peuple. — La garde nationale ne leur oppose aucun obstacle.

L’Hôtel-de-Ville est envahi par la garde nationale. — Barbès et Albert sont trainés en prison.

Les Représentants rentrent à l’Assemblée. — Tentatives d’assassinat contre Courtais et Louis Blanc. — Louis Blanc à la tribune. — Clameurs des Représentants. — L’Assemblée essaie en vain de délibérer.

CHAPITRE XIII. — Page 175.

Arrestation de Sobrier. — Pillage de sa maison et de celle de Cabet. — Quatre cents arrestations. — Les chefs de la démocratie enfermés à Vincennes. — Fête de la Concorde et de la Fraternité. — Fureur contre les clubs. — Les gardes nationaux tirent les uns sur les autres au passage Molière.

La Commission exécutive se met aux ordres de la réaction. — Ses insinuations contre Caussidière. — Rapport contre Louis Blanc.

CHAPITRE XIV. — Page 187.

Loi contre les attroupements. — Nouvelles élections. — Importance donnée à M. Louis Bonaparte par les maladresses de la Commission exécutive.

Efforts des Républicains pour empêcher une insurrection. — Manoeuvres des royalistes pour rendre la lutte inévitable. — Rôle équivoque de la Commission exécutive.

Mauvaise organisation des ateliers nationaux. — Attaque continuelles de l’Assemblée contre les ouvriers. — La commission exécutive, par une mesure violente, donne le signal de l’insurrection.

CHAPITRE XV. — Page 201.

Conférence entre Marie et les délégués des ateliers nationaux. —