veur du travail. — Ledru-Rollin promet satisfaction au Peuple. — Les délégués des clubs cherchent à faire évacuer la salle. — Buchez donne l’ordre de faire cesser le rappel. — Derniers efforts de Barbès et de Louis Blanc pour sortir le Peuple. — Huber prononce la dissolution de l’Assemblée nationale.
Les Représentants quittent la salle des séances. — On propose un gouvernement provisoire. — Barbès et Albert sont entrainés à l’Hôtel-de-Ville par le Peuple. — La garde nationale ne leur oppose aucun obstacle.
L’Hôtel-de-Ville est envahi par la garde nationale. — Barbès et Albert sont trainés en prison.
Les Représentants rentrent à l’Assemblée. — Tentatives d’assassinat contre Courtais et Louis Blanc. — Louis Blanc à la tribune. — Clameurs des Représentants. — L’Assemblée essaie en vain de délibérer.
Arrestation de Sobrier. — Pillage de sa maison et de celle de Cabet. — Quatre cents arrestations. — Les chefs de la démocratie enfermés à Vincennes. — Fête de la Concorde et de la Fraternité. — Fureur contre les clubs. — Les gardes nationaux tirent les uns sur les autres au passage Molière.
La Commission exécutive se met aux ordres de la réaction. — Ses insinuations contre Caussidière. — Rapport contre Louis Blanc.
Loi contre les attroupements. — Nouvelles élections. — Importance donnée à M. Louis Bonaparte par les maladresses de la Commission exécutive.
Efforts des Républicains pour empêcher une insurrection. — Manoeuvres des royalistes pour rendre la lutte inévitable. — Rôle équivoque de la Commission exécutive.
Mauvaise organisation des ateliers nationaux. — Attaque continuelles de l’Assemblée contre les ouvriers. — La commission exécutive, par une mesure violente, donne le signal de l’insurrection.
Conférence entre Marie et les délégués des ateliers nationaux. —