AU PA_OUB..155
coup.daus ses études, ear il fat Péduit à lM,pours1li’t’re d’un seul œil, runique paire ’qu’il possédait encore n’ayant plus qu’UD
verre. Le soir, comme nous tUions assis auprès de notre feu, causant de nos pertes et dégustant le reste de notre thé et la dernière pipe dont Unaus serait permis dej ouir durant plusieurs semaines, M. O’B. embellit notre can_rence par les muimes
de 8& philosophie caractéristique. Il nous fit remarquer combien nous aurions plus lieu de nous lamenter si lui ou l’un de noas avait monté l’animal qui avait disparu. Quant à la perte de 8& bouilloire, elle était insignifiante puisqu’il ’ne nous restait plus de thé à Y priparer. c’Ce qui me chagrin_ le plus, ajoutait-il, c’est la perte de votre tabac j pour moi comme pour vous, elle est irréparable j car, vous le.savez, le mien venait d’étre fini et j’étais sar le’poiut de TOUS en demander un peu pour mon usage.. Milton comprit l’insin8ation. Seul de la compagnie, il en avait encore de quoi bourrer trois ou quatre pipes ; il partagea en souriant, avec lei autres, ce qqi lui restait de cettè pré-cieuae denrée.
Le lendemain, nous nous dirige4mes sur La Cache avec 1’11’0quois et les Chouchouaps, tandis que L’Assiniboine et ton fils fouillaient soigneusement la rivière pour tâcher de trouver quelques t.racel du cheval ou du bagage perdu. Comme nous suimu le chemin avec notre convoi de chevaunnarchant à la file. Cbead1e, qui conduisait quelques-unes des demières Mtes de somme, entendit derrière lui de grands cris : c Docteur ’ !docteur 1 arr_tez 1. M. O’B. accourait hors d’haleine : c Docteur, docteur, vous feriez bien, dit-n, de rMoul’Der’sur WB pli. Bien sdr, quelque malheur est arrivé. N’entendez-vous pas des cris de détresse ! C’est sans doute Mme Assiniboine qui, avec un des chevaux, est em_trée dau un marais. " Cheadle, reprochant rudement à M. O’B. de n’_tre pas allé lui-m_me au secours de cette femme. reçut pour réponse que son assistance était supérieure à celle que M. O’B. aurait’pu offrir. fi courut donc à la
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