Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/208

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fit tant jouer ses doigts qu’il en sortit un son
et menu et enflé, frénétique et plaisant ;
lors ses deux compagnons, délivres se faisant,
de l’outre le premier et l’autre du bâton,
dansèrent, et j’ai vu leurs pieds aux jambes tortes,
qui, alternés, faisaient voler les feuilles mortes.