Page:Noailles - Les Vivants et les Morts, 1913.djvu/275

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Pourtant, ayez pitié ! Que votre main penchante
Vienne guider mon sort douloureux et terni ;
J’aspire à vous, Splendeur, Raison éblouissante !
Mais je ne vous vois pas, ô mon Dieu ! et je chante
À cause du vide infini !