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TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS CE VOLUME.


Dédicace à E. A. Wh. 
 iv
Notice sur Macchiavelli, par J. A. C. Buchou 
 v
Apologie pour Macchiavelli, en faveur des princes et des ministres d’état. 
 xxiii

OUVRAGES HISTORIQUES.
HISTOIRE DE FLORENCE.
Dédicace.
Préface.
1450 à 1246 Livre premier.
1
1246 à 1348      second.
24
1348 à 1414      troisième.
55
1414 à 1334      quatrième.
81
1434 à 1440      cinquième.
104
1440 à 1453      sixième.
132
1453 à 1476      septième.
160
1476 à 1492      huitième.
186

MORCEAUX HISTORIQUES
1494 à 1498 I. Fragments.
215
1497 à 1499 II. Extraits de lettres écrites aux Dix de Balia.
240
 III. Portraits de quelques hommes florentins. — Pierre, fils de Gino Capponi. — Antonio Giacomini. — Messer Côme de Paxxi et Messer Francesco Pepi.
256
 IV. Discours prononcé devant les Dix sur les affaires de Pise.
258
 V. Révolte de Val-di-Chiana.
260
 VI. Comment le duc de Valentinois se défait de Vitelli, d’Olivier de Fermo, du seigneur Pagolo et du duc de Gravina de la maison des Orsini.
263
 VII. Vie de Castruccio Castracani de Lucques.
267
 VIII. Discours sur la réforme de la constitution de Florence, demandé à Machiavelli par Léon X.
280
 IX. Précis au gouvernement intérieur de la ville de Lucques.
288
 X. Tableau de la France.
291
 XI. Caractère des Français.
298
 XII. Tableau de l’Allemagne.
299
 XIII. Rapport sur les affaires d’Allemagoe, fait le 17 juin 1308.
302
 XIV. Instructions sur l’Allemagne et sur l’empereur.
307
 XV. Instructions données par Macchiavelli à Raphaël Girolami, ambassadeur du roi d’Espagne auprès de l’empereur.
308
 XVI. Discours inédit ou projet de discours devant la Balla, sur la nécessité de se procurer de l’argent.
311

OUVRAGES
RELATIFS À L’ART MILITAIRE.

L’ART DE LA GUERRE.
Prologue à Lorenzo Strozzi, gentilhomme florentin.
314
Au lecteur.
315
Livre premier.
Ib.
  — second.
330
  — troisième.
348
  — quatrième.
360
  — cinquième.
368
  — sixième.
377
  — septième.
391
Appendice à l’Art de la guerre. — Plan d’un camp.
404
Deux provisions rédigées par Macchiavelli pour l’institution d’une milice nationale dans la république de Florence.
405
Première provision pour l’infanterie.
Ib.
Seconde provision pour la cavalerie.
414
Consultation de Macchiavelli pour l’élection du commandant de l’infanterie.
418
Relation d’une visite faite par Macchiavelli pour fortifier Florence.
419
Lettre à F. Guiccardini, ambassadeur de Florence à Rome, relative aux fortifications à faire à Florence.
423

OUVRAGES HISTORIQUES.
POLITIQUES ET PHILOSOPHIQUES.


DISCOURS
SUR LA PREMIÈRE DÉCADE DE TITE-LIVE.

Nicolas Macchiavelli à Zanobi Buondelmonti et à Cosimo Ruccellai.
425
Livre premier. — Avant-propos.
426
Chap. I. Quels ont été les commencements des villes en général, et surtout ceux de Rome.
427
 II. Des différentes formes des républiques. Quelles furent celles de la république romaine.
429
 III. Des événements qui furent cause de la création des tribuns à Rome. Leur établissement perfectionna la constitution.
432
 IV. Que la désunion du sénat et du peuple a rendu la république romaine puissante et libre.
ib.
 V. À qui plus sûrement confier la garde de la liberté, aux grands ou au peuple ; et lequel des deux cause plus souvent des troubles, de celui qui veut acquérir, ou de celui qui veut conserver ?
433
 VI. S’il était possible d’établir à Rome un gouvernement qui fît cesser les inimitiés qui existaient entre le sénat et le peuple.
435
 VII. Combien les accusations sont nécessaires dans une république pour y maintenir la liberté.
437
 VIII. Autant les accusations sont utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse.
439
 IX. Qu’il faut être seul pour fonder une république ou pour la réformer en entier.
440
 X. Qu’autant sont dignes d’éloges les fondateurs d’une république ou d’une monarchie, autant méritent de blâme les fondateurs d’une tyrannie.
 
 XI. De la religion des Romains.
443
 XII. Qu’il est important de faire grand cas de la religion. Ruine de l’Italie pour avoir, par les intrigues de la cour de Rome, manqué à cette maxime.
445
 XIII. Comment les Romains se sonraient de la religion pour établir des lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions.
446
 XIV. Que les Romains interprétaient les auspices suivant le besoin qu’ils en avaient ; qu’ils mettaient infiniment de prudence à paraître observer leur religion, dans les occasions même où ils étaient forcés de manquer à son observance ; qu'ils poussaient quiconque avait la même témérité de la mépriser.
447