Livre:Oeuvres complètes de N. Macchiavelli, avec une notice biographique par J. A. C. Buchon.djvu

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TitreŒuvres complètes de N. Macchiavelli
Sous-titreHistoire de Florence, L'art de la guerre, Le Prince, et autres textes courts. Tome 1
VolumeTome premier
AuteurNicolas Machiavel Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionDesrez
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1842
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Série1 2

Pages

1 2 i ii iii iv v vi vii viii ix x xi xii xiii xiv xv xvi xvii xviii xix xx xxi xxii xxiii xxiv xxv xxvi xxvii xxviii xxix xxx xxxi xxxii xxxiii xxxiv xxxv xxxvi xxxvii xxxviii xxxix xl xli xlii xliii xliv xlv xlvi xlvii xlviii xlix l li lii liii liv lv lvi lvii lviii lix lx lxi lxii lxiii lxiv lxv lxvi lxvii lxviii lxix 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 459 460 461 462 463 464 465 466 467 468 469 470 471 472 473 474 475 476 477 478 479 480 481 482 483 484 485 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 498 499 500 501 502 503 504 505 506 507 508 509 510 511 512 513 514 515 516 517 518 519 520 521 522 523 524 525 526 527 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 540 541 542 543 544 545 546 547 548 549 550 551 552 553 554 555 556 557 558 559 560 561 562 563 564 565 566 567 568 569 570 571 572 573 574 575 576 577 578 579 580 581 582 583 584 585 586 587 588 589 590 591 592 593 594 595 596 597 598 599 600 601 602 603 604 605 606 607 608 609 610 611 612 613 614 615 616 617 618 619 620 621 622 623 624 625 626 627 628 629 630 631 632 633 634 635 636 637 638 639 640 641 642 643 644 645 646 647 648 649 650 651 652 653 654

TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS CE VOLUME.


Dédicace à E. A. Wh. 
 iv
Notice sur Macchiavelli, par J. A. C. Buchou 
 v
Apologie pour Macchiavelli, en faveur des princes et des ministres d’état. 
 xxiii

OUVRAGES HISTORIQUES.
HISTOIRE DE FLORENCE.
Dédicace.
Préface.
1450 à 1246 Livre premier.
1
1246 à 1348      second.
24
1348 à 1414      troisième.
55
1414 à 1334      quatrième.
81
1434 à 1440      cinquième.
104
1440 à 1453      sixième.
132
1453 à 1476      septième.
160
1476 à 1492      huitième.
186

MORCEAUX HISTORIQUES
1494 à 1498 I. Fragments.
215
1497 à 1499 II. Extraits de lettres écrites aux Dix de Balia.
240
 III. Portraits de quelques hommes florentins. — Pierre, fils de Gino Capponi. — Antonio Giacomini. — Messer Côme de Paxxi et Messer Francesco Pepi.
256
 IV. Discours prononcé devant les Dix sur les affaires de Pise.
258
 V. Révolte de Val-di-Chiana.
260
 VI. Comment le duc de Valentinois se défait de Vitelli, d’Olivier de Fermo, du seigneur Pagolo et du duc de Gravina de la maison des Orsini.
263
 VII. Vie de Castruccio Castracani de Lucques.
267
 VIII. Discours sur la réforme de la constitution de Florence, demandé à Machiavelli par Léon X.
280
 IX. Précis au gouvernement intérieur de la ville de Lucques.
288
 X. Tableau de la France.
291
 XI. Caractère des Français.
298
 XII. Tableau de l’Allemagne.
299
 XIII. Rapport sur les affaires d’Allemagoe, fait le 17 juin 1308.
302
 XIV. Instructions sur l’Allemagne et sur l’empereur.
307
 XV. Instructions données par Macchiavelli à Raphaël Girolami, ambassadeur du roi d’Espagne auprès de l’empereur.
308
 XVI. Discours inédit ou projet de discours devant la Balla, sur la nécessité de se procurer de l’argent.
311

OUVRAGES
RELATIFS À L’ART MILITAIRE.

L’ART DE LA GUERRE.
Prologue à Lorenzo Strozzi, gentilhomme florentin.
314
Au lecteur.
315
Livre premier.
Ib.
  — second.
330
  — troisième.
348
  — quatrième.
360
  — cinquième.
368
  — sixième.
377
  — septième.
391
Appendice à l’Art de la guerre. — Plan d’un camp.
404
Deux provisions rédigées par Macchiavelli pour l’institution d’une milice nationale dans la république de Florence.
405
Première provision pour l’infanterie.
Ib.
Seconde provision pour la cavalerie.
414
Consultation de Macchiavelli pour l’élection du commandant de l’infanterie.
418
Relation d’une visite faite par Macchiavelli pour fortifier Florence.
419
Lettre à F. Guiccardini, ambassadeur de Florence à Rome, relative aux fortifications à faire à Florence.
423

OUVRAGES HISTORIQUES.
POLITIQUES ET PHILOSOPHIQUES.


DISCOURS
SUR LA PREMIÈRE DÉCADE DE TITE-LIVE.

Nicolas Macchiavelli à Zanobi Buondelmonti et à Cosimo Ruccellai.
425
Livre premier. — Avant-propos.
426
Chap. I. Quels ont été les commencements des villes en général, et surtout ceux de Rome.
427
 II. Des différentes formes des républiques. Quelles furent celles de la république romaine.
429
 III. Des événements qui furent cause de la création des tribuns à Rome. Leur établissement perfectionna la constitution.
432
 IV. Que la désunion du sénat et du peuple a rendu la république romaine puissante et libre.
ib.
 V. À qui plus sûrement confier la garde de la liberté, aux grands ou au peuple ; et lequel des deux cause plus souvent des troubles, de celui qui veut acquérir, ou de celui qui veut conserver ?
433
 VI. S’il était possible d’établir à Rome un gouvernement qui fît cesser les inimitiés qui existaient entre le sénat et le peuple.
435
 VII. Combien les accusations sont nécessaires dans une république pour y maintenir la liberté.
437
 VIII. Autant les accusations sont utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse.
439
 IX. Qu’il faut être seul pour fonder une république ou pour la réformer en entier.
440
 X. Qu’autant sont dignes d’éloges les fondateurs d’une république ou d’une monarchie, autant méritent de blâme les fondateurs d’une tyrannie.
 
 XI. De la religion des Romains.
443
 XII. Qu’il est important de faire grand cas de la religion. Ruine de l’Italie pour avoir, par les intrigues de la cour de Rome, manqué à cette maxime.
445
 XIII. Comment les Romains se sonraient de la religion pour établir des lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions.
446
 XIV. Que les Romains interprétaient les auspices suivant le besoin qu’ils en avaient ; qu’ils mettaient infiniment de prudence à paraître observer leur religion, dans les occasions même où ils étaient forcés de manquer à son observance ; qu'ils poussaient quiconque avait la même témérité de la mépriser.
447

ligion, dans les occasions même où ils étaient forcés de manquer à son observance ; qu’ils puuissaient quiconque avait la témérité de la mépriser.|page= 447}}

— XV. Comment les Samnites, dans une occasion désespérée, ont recours à la religion.
448
— XVI. Qu’au peuple accoutumé à vivre sous un prince conserve difficilement sa liberté, si par hasard il devient libre.
449
— XVII. Qu’on peuple corrompu qui devient libre peut bien difficilement conserver sa liberté.
451
— XVIII. De quelle manière, dans un état corrompu, on pourrait conserver un gouvernement libre s’il y existait déjà, ou l’y introduire s’il n’y était pas auparavant.
432
— XIX. Qu’un état qui a un excellent commencement peut se soutenir sous un prince faible ; mais sa perte est inévitable quand le successeur de ce prince faible est faible comme lui.
454
— XX. Qu’une succession de deux grands princes produit de grands effets ; et que, comme les républiques bien constituées ont nécessairement une succession d’hommes vertueux, elles doivent s’étendre et s’augmenter considérablement.
455
— XXI. Combien méritent d’être blâmés ou le prince ou la république qui n’ont point d’armée nationale.
Ib.
— XXII. Ce qu’il y a de remarquable dans le combat des Horaces et des Curiaces.
456
— XXIII. Qu’on ne doit point hasarder toute sa fortune sans employer toutes ses forces ; et que, pour cela, souvent il est dangereux de se borner à garder des passages.
Ib.
— XXIV. Les républiques bien constituées décernent des récompenses et des peines, et ne compensent jamais les unes par les autres.
457
— XXV. Que si l’on veut changer la constitution d’un état libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions.
458
— XXVI. Qu’un prince nonvellement établi dans une ville ou dans une province conquise doit tout renouveler.
459
— XXVII. Que les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais.
Ib.

{{table|nodots|titre= — XXVIII. Pourquoi les Ro- 457 459

Chap. XXIX. Quel est le plus in- grat d’un peuple ou d’an prince. — XXX. Quels moyens doit employer un prince ou une république, pour éviter le vice de l’ingratitude ; et comment un général ou on citoyen peuvent éviter d’en être les victimes. — XXXI. Que les généraux ro- mains ne furent jamais pu- nis rigoureusement pour des fautes commises ; ils ne le furent même pas quand leur ignorance et leurs mauvaises opérations avaient occasionné les plus grands dommages à la ré- publique. Galimage mains furent moins in- grats envers lears conci- toyens que ne le fut le peuple d’Athènes envers C les siens. - - 460 Ib. SHAR 462 464 XXXII. Qu’une république ou un prince ne doivent pas différer, quand il s’agit de subvenir aux besoins de leurs sujets. XXXIII. Quand on mal est parvenu au plus haut pé- riode dans un état, il est plus sage de temporiser que de beurter de front. lb. XXXIV. Que la dictature fit toujours du bien, et jamais de mal à la répu- blique romaine. C’est l’au- torité dont les citoyens s’emparent qui nuit à la liberté, et non celle qui est conférée par les suf- frages du peuple. 463 dans XXXV. Pourquoi Rome, la création des dé- cemvirs fut-elle nuisible à Is liberté, quoiqu’ils eus- sent été nommés par les suffrages libres du peuple. 467 XXXVI. Que les citoyens qui ont été revêtus des plas grands emplois ne doivent pas dédaigner les moindres. 468 466 XXXVII. Des mouvements causés à Rome par la loi agraire ; qu’il est très- dangereux dans une répn- blique de faire une loi qui ait un effet rétroactif et qui detruise une ancienne coutume de l’état. XXXVIII. Les républiques faibles sout irrésolues, et ne savent ni délibérer ni prendre un parti. Si quel- quefois elles en preunent uu, c’est plus par néces- sité que par choix. XXXIX. Les mêmes acci- dents arrivent quelquefois chez des peuples bien dif- férents. XL. La création du décem- virat à Rome, et ce qu’il faut y remarquer ; où l’on considère entre autres Ib. 470 471 7 choses comment le même accident peut sauver ou perdre une république. Chap. XLI. Il est aussi imprudent qu’inutile de passer sans gradation, et de sauter, pour ainsi dire, de la mo- destie à l’orgueil, de la douceur à la cruauté. XLII. Combien les hommes peuvent aisément se cor- rompre. 3 3. 0 11 Bre Hares Sam update - 472 XLIII. Ceux qui combattent pour leur propre gloire sout bons et fidèles soldats. Ib. 475 Ib. XLIV. Une multitude sans chef ne peut rien faire ; et on ne doit pas se porter à des menaces avant de s’é- tre emparé de l’autorité. 476 XLV. Il est de mauvais exemple de ne pas obser- ver que loi, surtout de la part de ceux qui l’ont faite ; et rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville que de renou- veler chaque jour les of- feuses envers le peuple. XLVI. Les hommes s’élt vent d’une ambition à une autre. Ou songe d’a- bord à se défendre, et ensuite à attaquer. 477 XLVI. Que les hommes en masse, quoique sujeta à se tromper sur les affai- res générales, ne se trom- pent pas sur les particu- lières. 16. - 478 comme XLVIII. Qui veut empêcher qu’une magistrature soit déférée à un homme vil ou méchant doit la faire de- msuder par un homme plas vil et plus méchant encore, ou par ce qu’il y a dans l’état de plus illus- tre et de plus vertuenx.

— XLIX. Si les villes libres dès leur origine, Rome, ont de la difficulté à trouver des lois qui les maintiennent en liberté, celles qui sont nées dans la servitude éprouvent l’impossibilité d’y réussir.
Ib.
— L. Que nul conseil, nul magistrat ne doit pouvoir arrêter la marche des affaires dans un état.
481
— LI. Qu’une république ou un prince doit se porter à faire par générosité ce à quoi la nécessité contraint.
482
— LII. Pour réprimer les excès et le danger d’un ambitieux en crédit dans une république, il n’est pas de plus sûr moyen, ni qui fasse moins d’éclat, que d’occuper avant lui le chemin qui conduit à cette élévation.
Ib.

{{table|nodots|titre= — LIII. Qu’on peuple désire souvent sa ruine, trompé par une fausse apparence de bien ; et qu’on le met Page:Oeuvres complètes de N. Macchiavelli, avec une notice biographique par J. A. C. Buchon.djvu/717 Page:Oeuvres complètes de N. Macchiavelli, avec une notice biographique par J. A. C. Buchon.djvu/718

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