Page:Rabelais marty-laveaux 04.djvu/213

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

PANTAGRUEL, T. I, P. 308-311, 205

Page 308, 1. 7 : Pro & contra. « Pour et contre. »

L. 21 : A perfonne. Premières édit. : A nully.

L. 33 : Au quel difoit Heraclite eflre la vérité cachée. Rabelais a dit de même (t. ir, p. 172) : « On puiz téné- breux, onquel difoit Heraclytus eftre Vérité cachée. » C’est d’ordinaire à Démocrite qu’on attribue ce mot : « Democritus quasi in puteo quodam sic alto ut fundus sit nuUus, veritatem jacere depressam ait. » (Cicéron, Académiques^ v)

Page 309, 1. 29 : De numeris & fignis. « Des nombres et des signes. » Voici le véritable titre de ce traité, publié à Venise en i^a^ : De computo feu indi- gitilatione &" de loquela manuali per gejîum digitorum.

L. 30 : De inenarrabilibus. « Des inénarrables. » Plotin déplorait l’insuffisance du langage pour la haute philosophie.

L. 31 : De magia. a De la magie. » Proclus passe pour avoir étudié la magie des Chaldéens. Les pre- mières éditions donnent ici Proclus^ et, à la ligne sui- vante : Artemidorus.

L. 32 : Péri onirocriticon. m TI=pl ôveipcx.f.Tix.wv, sur l’in- terprétation des songes. »

L. 33 : Péri femion. « Ilêfl a-/ ; [7.sîwv, sur les signes. »

L. 34 : Péri aphaton. « nspi à’jocTMv, sur les choses qu’on ne doit pas dire. »

Page 310, 1. 2 : Péri anecphoneton. « IIejI àvïxçwvïi- Tcov, sur les mots qu’on ne peut prononcer. »

L. II : Ad metam non loqui. « Au point de ne pas parler. »

L. 23 : louer toutes les aigueillettes de fes chauffes. Dans les dialogues de Mathurin Cordier, au chapitre du Jeu {De corrupti fermonis emendatione. Ludendi fumma) on voit des écoliers jouant ainsi leurs aiguil- lettes : « Ego amisi quatuor ligas. »

L. 30 : Re/ueurs & beiaunes Sophiftes. Premières édit. : Sorhonicoles.

Page 311, I. 10 : Euffent il^ mangé quinze Hures de plume. Du Fail a dit de même : « Difoientqu’ilz n’ofe-