Page:Rabelais marty-laveaux 04.djvu/357

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
349
appendice, t. iii, p. 193-211.

tum ut nomen divinum inde invenerit, scripsisse etiam feminam, et proverbium inde natuna suspendio arborem eligendi. »

Page 194, l. 1 : Briefue declaration d’aucunes dictions… Ce petit commentaire, qui se trouve à la suite de quelques exemplaires de l’édition de 1552 et dans tous ceux de 1553 (Voyez la Bibliographie), a été composé par Rabelais, ou tout au moins a été approuvé par lui : il a donc une assez grande importance. Nous n’y avons changé que les indications de pages auxquelles nous avons substitué les numéros de celles de notre édition.

Page 208, l. 6 : chapitre xv. Cette fin du chapitre XV et le chapitre suivant, désigné d’ordinaire sous le nom des apedestes, terminent la première publication partielle du cinquiesme liure intitulée l’Isle Sonnante (1562). Ce morceau ne se trouve ni dans les trois premières éditions complètes (1564 et 1565) ni dans le manuscrit de la Bibliothèque nationale. Les éditeurs modernes lui ont donné différentes places ; nous avons cru que le plus simple était de le placer en appendice.

Page 210, l. 1 : Apedestes. Mot tiré, conformément à la prononciation du grec moderne, de ἀπαίδευτος, ignorant, parce que messieurs de la Chambre des comptes, qui sont désignés dans ce chapitre, n’avaient pas besoin d’être gradués, « qu’ils ne sont & ne doyuent nullement estre clercs. » (Voyez p. 214, l. 24)

L. 18 : Robbe gocourte… Règlement de 1571.

Page 211, l. 13 : Testonnez. Jeu de mots entre testonner « coiffer, » encore employé par La Fontaine, qui, il est vrai, l’accompagne d’une glose poétique :

L’alloient quelquefois testonnant,
C’est-à-dire ajustant sa teste.

et le mot teston, désignant une pièce de monnaie.

L. 20 : Pantagruel fut en grande admiration… de la demeure… Cet édifice avait été construit vers 1506 sur