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appendices

sac pour rejoindre la maison où été mes compagnon de voyage.

Mon oncle m’a demandé si je voulé rester avec lui jusque je soit plus grand, et j’irais rejoindre ma mère. Je lui dit : « Non, je vous le merci. Jé quité mon père et mes frère, pour rejoindre ma mère. Vous voyé bien que je ne puisse rester avec vous. Je suis sûre ma mère et bien inquète de moi, en particulier, car j’été son enfant gâtés, beaucoup plus que les autres. » Il a bien vu que je ne voulé pas rester avec lui. Il m’ambrasa. Je lui fait mes adieux, et je me suis rendu sur-le-champ, à la rondez-vous de voyagers, le cœur contan en espéran voir ma mère quelque jours après.


DOCUMENTS

SUR LE CORPS DES MAMELOUCKS
Paris, le 21 Vendémiaire an x (13 octobre 1801).

Les Consuls de la République arrêtent :

Article premier. — Il sera formé un escadron de deux cent quarante Mameloucks, de ceux venant d’Égypte.

Art. ii. — L’aide de camp chef de brigade Rapp en aura le commandement. Il se rendra, à cet effet, à Marseille, pour l’organisation de cet escadron.

Art. iii. — Le ministre de la Guerre est chargé de l’exécution du présent arrêté.

Le premier Consul.
Signé Bonaparte.

Par le premier Consul, le Secrétaire d’État. Signé Hugues B. Maret,