Page:Ryner - L’Homme-fourmi, Figuière.djvu/168

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ne m’eût point pardonné de détruire tant d’avenir. Le meurtre, sûrement, eût été puni de mort. Or, quoique je ne dusse jamais savoir la riche caresse des êtres ailés, je voulais vivre ; âprement je voulais vivre pour retrouver au moins la pauvre ombre de baiser que connaissent les hommes.