Aller au contenu

Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/213

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

XIV


Vous avez vu, mes chers enfants, que les dangers que j’ai courus sont peu de chose en comparaison de ceux auxquels ma mère a échappé. Elle dut son salut à sa présence d’esprit incroyable, à cette noble et courageuse franchise qui frappa d’étonnement ceux qui s’apprêtaient à devenir ses bourreaux.

Ces cruelles épreuves n’affaiblirent point son grand caractère, ne refroidirent pas