quantité négative , la nouvelle inégalité sera de sens contraire (n° 140, 2°) :
ce qui entraîne, par définition :.
3° Soient :.
Ici, je puis écrire encore ,
mais la somme algébrique est de signe inconnu, car ce signe dépendra de celui du terme, a ou b, qui a la plus grande valeur absolue ; de plus, cette somme peut être nulle, si a et b sont deux nombres opposés.
On ne peut donc écrire que les relations suivantes :
Si a et b n’ont pas la même valeur absolue :
Si a et b sont deux nombres opposés, de somme 0 :
Exemples :1° Si on a
2° Si on a
3° |
|
Si on a | ||||
Si on a | ||||||
Si on a |
§ II. — Résolution des Inégalités.
142. — Lorsqu’une inégalité est toujours vraie, quelles que soient les valeurs attribuées aux lettres qu’elle renferme, c’est une inidentité ; si elle n’est vraie que pour certaines valeurs attribuées aux lettres appelées inconnues, c’est une inéquation ; ces valeurs sont les racines de l’inéquation. On donne encore à l’inéquation le nom d’inégalité conditionnelle. — Quand deux inéquations admettent strictement les mêmes racines, on dit qu’elles sont équivalentes. — Chercher les racines d’une inéquation, c’est la résoudre.
143. — Enfin, on résout une inéquation d’après les principes