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VOYAGE DANS LES PRAIRIES

le lever de la lune. Alors je sortis de la cabane du capitaine pour me préparer au repos de la nuit. J’étais décidé à quitter l’abri de la tente, et à bivouaquer avec les cavaliers. Une peau d’ours me servit de lit, un bissac était mon oreiller. Enveloppé dans des couvertures, je m’étendis sur la couche du chasseur, où je m’endormis d’un sommeil doux et profond, et ne m’éveillai qu’au bruit du cor, sonnant le départ au point du jour.