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C’est vraiment à ces séjours dans ce calme pays qu’il faut attribuer cette influence de simplicité de douceur, qui enveloppa si étroitement son âme d’artiste que Paris et l’Italie sollicitaient parfois ardemment.<poem class=center style="font-size : 90%" >Ô chère solitude ! Et pourtant, je le jure, |
C’est vraiment à ces séjours dans ce calme pays qu’il faut attribuer cette influence de simplicité de douceur, qui enveloppa si étroitement son âme d’artiste que Paris et l’Italie sollicitaient parfois ardemment. |
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:Arts élégants, bronzes, peinture, |
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Je vous aime, rivaux de cette âpre nature. |
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Version du 10 novembre 2020 à 07:39
« Après une trop longue absence, l’auteur de ces poésies venait de rentrer en Bretagne, et dans un village souvent habité par lui. Son arrivée y fut à peine connue que d’anciens amis, des jeunes filles, des enfants déjà grandis, accoururent à sa maison. Et quelques uns, comme pour avertir qu’ils étaient toujours des siens, se mirent à chanter le refrain d’une de ses chansons.
« Est-il salut plus courtois à l’oreille du barde ? Ici ce n’est point l’amour propre qui doit être heureux.» Décembre 1843.
C’est cette joie du cœur qu’il a traduite en vers dans le Journal Rustique, III.
C’est vraiment à ces séjours dans ce calme pays qu’il faut attribuer cette influence de simplicité de douceur, qui enveloppa si étroitement son âme d’artiste que Paris et l’Italie sollicitaient parfois ardemment.
Ô chère solitude ! Et pourtant, je le jure,
Arts élégants, bronzes, peinture,
Je vous aime, rivaux de cette âpre nature.
Hélas ! me préservent les cieux
De vous nier jamais, symboles radieux,
Charmes de l’esprit et des yeux.
« Brizeux, écrivait il. Jules Simon, ne pouvait se passer ni de la Bretagne (Il commen-