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Le meilleur papier photographique est celui que l’on prépare exprès en Angleterre. On en trouve rue Vivienne, n° 10.
Il est facile d’éviter l’emploi des deux glaces de la manière suivante : On trempe une feuille de papier ordinaire dans de l’eau distillée ; on l’étend sur la plaque de verre, en ayant bien soin qu’il ne reste pas de bulles d’air dessous ; puis, le papier négatif étant préparé au nitrate d’argent et à l’iodure de potassium, on l’humecte du côté non nitraté, en le déposant sur un bain d’eau distillée. Quand il est bien imbibé, on le dépose sur le papier ordinaire encore humide et déjà étendu sur la glace. Ensuite, on verse l’acéto-nitrate sur le papier négatif, et on l’étend légèrement, au moyen d’une bande de papier, au lieu de pinceau.
Si l’on veut obtenir de très-bonnes épreuves, il est utile de faire satiner les types négatifs obtenus, et même de les cirer, au moyen d’un peu de cire étendue avec un fer chaud à repasser. Le procédé Martens doit être ainsi un peu modifié.