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Notre contrat… |
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FIAMETTA. Notre contrat... PÉPITO. Notre contrat ?... je ne sais pas... je n'ai pas lu. FIAMETTA , |
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Notre contrat ?… je ne sais pas… je n’ai pas lu. |
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Pourquoi ? |
Pourquoi ? |
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J’avais les yeux sur toi. |
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FIAMETTA |
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Pauvre chéri !… De sorte que ma dot… |
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PÉPITo, se levant. Ta dot ?... mais la v'là... |
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Ta dot ?… mais la v’là… |
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FIAMETTA |
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Où donc ?…<ref>F., P.</ref> |
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PÉPlTO. AIR : Ton joli nom. (Arnaud.) V'là ta dot, ma p'tit'femme : C'est c corset gracieux, C'est c'regard qui m'enflamme, Ces p'tit's mains, ces grands yeux ! Que plus d'une autre ait pour trésor Beaucoup d'or, Plus riche encor, Toi, n'as-tu pas Tes appas ! L'or et l'argent ne durent guere ; Tandis qu'ta dot, c'est différent, Je la dévore, et j'ai beau faire, Il en reste toujours autant... Ça n'peut qu'aller en augmentant. |
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:Ces p’tit’s mains, ces grands yeux ! |
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Que plus d’une autre ait pour trésor |
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L’or et l’argent ne durent guère ; |
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Tandis qu’ta dot, c’est différent, |
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Je la dévore, et j’ai beau faire, |
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Il en reste toujours autant… |
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Ça n’peut qu’aller en augmentant. |
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Dieu ! sommes-nous-t-y heureux ! |
Dieu ! sommes-nous-t-y heureux ! |
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ENSEMBLE. Quel joli p'tit ménage ! Que d'amour ! que d' bonheur ! Ah ! tous deux du mariage Bénissons l'inventeur ! D' s'aimer toujours, ah! voilà bien L' vrai moyen ! On ne trouv'ra, On n'invent'ra Rien d' mieux qu'ça ! |
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::Quel joli p’tit ménage ! |
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· F., P. |
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::Que d’amour ! que d’bonheur ! |
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::Ah ! tous deux du mariage |
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::Bénissons l’inventeur ! |
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D’s’aimer toujours, ah ! voilà bien |
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::::L’vrai moyen ! |
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:::On ne trouv’ra, |
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:::On n’invent’ra |
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:::Rien d’mieux qu’ça ! |
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Dernière version du 1 octobre 2019 à 22:13
Oh que si !… mais je n’osais pas me prononcer… Au premier mot, je lui ai répondu : topez là, beau-père… et nous avons été chez le Barigel, où nous avons signé quelque chose.
Notre contrat…
Notre contrat ?… je ne sais pas… je n’ai pas lu.
Pourquoi ?
J’avais les yeux sur toi.
Pauvre chéri !… De sorte que ma dot…
Ta dot ?… mais la v’là…
Où donc ?…[1]
V’là ta dot, ma p’tit’ femme :
C’est c’ corset gracieux,
C’est c’regard qui m’enflamme,
Ces p’tit’s mains, ces grands yeux !
Que plus d’une autre ait pour trésor
Beaucoup d’or,
Plus riche encor,
Toi, n’as-tu pas
Tes appas !
L’or et l’argent ne durent guère ;
Tandis qu’ta dot, c’est différent,
Je la dévore, et j’ai beau faire,
Il en reste toujours autant…
Ça n’peut qu’aller en augmentant.
Dieu ! sommes-nous-t-y heureux !
Quel joli p’tit ménage !
Que d’amour ! que d’bonheur !
Ah ! tous deux du mariage
Bénissons l’inventeur !
D’s’aimer toujours, ah ! voilà bien
L’vrai moyen !
On ne trouv’ra,
On n’invent’ra
Rien d’mieux qu’ça !
- ↑ F., P.