« Page:Étrennes aux fouteurs, 1793.djvu/78 » : différence entre les versions
Apparence
→top : clean up, remplacement: À → A, |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 14 : | Ligne 14 : | ||
{{tab}}Remarques-tu ſa groſſeur, |
{{tab}}Remarques-tu ſa groſſeur, |
||
{{tab}}{{tab}}Ainſi que ſa longueur, |
{{tab}}{{tab}}Ainſi que ſa longueur, |
||
{{tab}}{{tab}} |
{{tab}}{{tab}}A travers ma brayette ? |
||
{{tab}}{{tab}}{{tab}}Mets ton doigt |
{{tab}}{{tab}}{{tab}}Mets ton doigt |
||
{{tab}}{{tab}}{{tab}}Sur l’endroit : |
{{tab}}{{tab}}{{tab}}Sur l’endroit : |
Dernière version du 16 février 2022 à 17:54
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 68 )
LE MENUET DE LA MARIÉE.
Air : Du menuet d’Exaudet[ws 1].
QUe mon vit
Se roidit !
Ma poulette,
Remarques-tu ſa groſſeur,
Ainſi que ſa longueur,
A travers ma brayette ?
Mets ton doigt
Sur l’endroit :
Comme il bande !
Tu dois avoir un beau con,
C’eſt ce que le frippon
Demande.
De dette jambe à la cuiſſe,
Souffre que ma main ſe gliſſe…»
Quel effet !
C’en eſt fait,
Je me pâme.
Hélas ! quand je le mettrai,
Sûrement je rendrai