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« Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/344 » : différence entre les versions

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<section begin=s1/>voûte, cela renouvellera notre provision d’air ; puis, l’un de nous prendra place à ce poste, et de là il fera feu sur les ours.
<section begin="s1"/>voûte, cela renouvellera notre provision d’air ; puis, l’un de nous prendra place à ce poste, et de là il fera feu sur les ours.

— C’est le seul parti à prendre, répliqua l’Américain.

Ceci convenu, on attendit le moment de tenter l’aventure, et, pendant les heures qui suivirent, Altamont n’épargna pas ses imprécations contre un état de choses dans lequel, disait-il, « des ours et des hommes étant donnés, ces derniers ne jouaient pas le plus beau rôle ».<section end=s1/>
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— C’est le seul parti à prendre, » répliqua l’Américain.


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{{t2mp|CHAPITRE XIII. — LA MINE.}}




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Il semblait inquiet.
Il semblait inquiet.


Qu’avez-vous ? lui demanda le capitaine.
« Qu’avez-vous ? lui demanda le capitaine.


— Ce que j’ai ? rien ! répondit le vieux marin en hésitant, et pourtant.
— Ce que j’ai ? rien ! répondit le vieux marin en hésitant, et pourtant.
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— De quel côté ?
— De quel côté ?


— Là ! il se passe quelque chose dans la muraille de la chambre !
— Là ! il se passe quelque chose dans la muraille de la chambre ! »


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Version du 15 avril 2018 à 07:53

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voûte, cela renouvellera notre provision d’air ; puis, l’un de nous prendra place à ce poste, et de là il fera feu sur les ours.

— C’est le seul parti à prendre, » répliqua l’Américain.

Ceci convenu, on attendit le moment de tenter l’aventure, et, pendant les heures qui suivirent, Altamont n’épargna pas ses imprécations contre un état de choses dans lequel, disait-il, « des ours et des hommes étant donnés, ces derniers ne jouaient pas le plus beau rôle ».


Modèle:T2mp


La nuit arriva, et la lampe du salon commençait déjà à pâlir dans cette atmosphère pauvre d’oxygène.

À huit heures, on fit les derniers préparatifs. Les fusils furent chargés avec soin, et l’on pratiqua une ouverture dans la voûte de la snow-house.

Le travail durait déjà depuis quelques minutes, et Bell s’en tirait adroitement, quand Johnson, quittant la chambre à coucher, dans laquelle il se tenait en observation, revint rapidement vers ses compagnons.

Il semblait inquiet.

« Qu’avez-vous ? lui demanda le capitaine.

— Ce que j’ai ? rien ! répondit le vieux marin en hésitant, et pourtant.

— Mais qu’y a-t-il ? dit Altamont.

— Silence ! n’entendez-vous pas un bruit singulier ?

— De quel côté ?

— Là ! il se passe quelque chose dans la muraille de la chambre ! »