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« Page:Ramsay - Les Voyages de Cyrus, éd. Quillau, 1727, tome 1.pdf/134 » : différence entre les versions

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peurs chargées de souffres, de mineraux, de sels différens, elles s’allument dans l’air, l’agitent, le troublent, & causent le bruit du tonnerre, & la lumiere des éclairs.
{{tiret2|va|peurs}} chargées de souffres, de mineraux, de sels différens, elles s’allument dans l’air, l’agitent, le troublent, & causent le bruit du tonnerre, & la lumiere des éclairs.


D’autres vapeurs plus legeres se ramassent en nuages & flottent dans l’air ; mais quand leur poids devient trop grand, elles tombent en rosée, en pluye, en neige en grêle, selon que l’air est plus ou moins échauffé.
D’autres vapeurs plus legeres se ramassent en nuages, & flottent dans l’air ; mais quand leur poids devient trop grand, elles tombent en rosée, en pluye, en neige, en grêle, selon que l’air est plus ou moins échauffé.


Ces vapeurs tirées tous les jours de la mer, portées dans l’air par les vents au-dessus des montagnes, y tombent, s’y insinuent, & s’amassent dans leurs cavités intérieures, jusqu’à ce qu’elles trouvent quelque issue pour sortir, & former par-là des sources abondantes d’eau vi-
Ces vapeurs tirées tous les jours de la mer, portées dans l’air par les vents au-dessus des montagnes, y tombent, s’y insinuent, & s’amassent dans leurs cavités intérieures, jusqu’à ce qu’elles trouvent quelque issue pour sortir, & former par-là des sources abondantes d’eau {{tiret|vi|ve}}

Dernière version du 25 avril 2019 à 11:01

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peurs chargées de souffres, de mineraux, de sels différens, elles s’allument dans l’air, l’agitent, le troublent, & causent le bruit du tonnerre, & la lumiere des éclairs.

D’autres vapeurs plus legeres se ramassent en nuages, & flottent dans l’air ; mais quand leur poids devient trop grand, elles tombent en rosée, en pluye, en neige, en grêle, selon que l’air est plus ou moins échauffé.

Ces vapeurs tirées tous les jours de la mer, portées dans l’air par les vents au-dessus des montagnes, y tombent, s’y insinuent, & s’amassent dans leurs cavités intérieures, jusqu’à ce qu’elles trouvent quelque issue pour sortir, & former par-là des sources abondantes d’eau vi-