Aller au contenu
Menu principal
Menu principal
déplacer vers la barre latérale
masquer
Lire
Accueil
Index des auteurs
Portails thématiques
Aide au lecteur
Contacter Wikisource
Texte au hasard
Auteur au hasard
Contribuer
Scriptorium
Forum des nouveaux
Aide
Communauté
Livre au hasard
Modifications récentes
Faire un don
Imprimer / exporter
Télécharger en EPUB
Télécharger en MOBI
Télécharger en PDF
Autres formats
Rechercher
Rechercher
Apparence
Créer un compte
Se connecter
Outils personnels
Créer un compte
Se connecter
Pages pour les contributeurs déconnectés
en savoir plus
Contributions
Discussion
Virelays
Ajouter des langues
Ajouter des liens
Texte
Source
Discussion
français
Lire
Modifier
Voir l’historique
Outils
Outils
déplacer vers la barre latérale
masquer
Actions
Lire
Modifier
Voir l’historique
Général
Pages liées
Suivi des pages liées
Pages spéciales
Lien permanent
Informations sur la page
Citer cet article
Obtenir l’URL raccourcie
Télécharger le code QR
Élément Wikidata
Imprimer / exporter
Télécharger en PDF
Version imprimable
Dans d’autres projets
Apparence
déplacer vers la barre latérale
masquer
Télécharger
La bibliothèque libre.
Christine de Pisan
VIRELAYS
Œuvres poétiques de Christine de Pisan
, Texte établi par
Maurice Roy
,
Firmin Didot
,
1886
(
p.
TdM
).
collection
VIRELAYS
Christine de Pisan
Société des anciens textes français
Firmin Didot
1886
Paris
C
VIRELAYS
De Pisan - Œuvres poétiques, tome 1.djvu
De Pisan - Œuvres poétiques, tome 1.djvu/9
TdM
VIRELAYS
Pages
I. —
Je chante par couverture
101
II. —
Amis, je ne sçay que dire
102
III. —
Pour le grant bien qui en vous maint
103
IV. —
Comme autre fois me suis plainte
104
V. —
Belle ou il n’a que redire
105
VI. —
Mon gracieux reconfort
106
VII. —
La grant doulour que je porte
108
VIII. —
Puis que vous estes parjure
109
IX. —
Je suis de tout dueil assaillie
110
X. —
Très doulz ami, or t’en souviegne
111
XI. —
En ce printemps gracieux
112
XII. —
Se pris et les estoit a départir
113
XIII. —
Dieux ! que j’ay esté deceûe
114
XIV. —
Trestout me vient a rebours
115
XV. —
De meschief, d’anui, de peine
116
XVI. —
On doit croire ce que la loi commande
117
Catégories
:
100%
Poèmes de Christine de Pisan