Discussion:Georges Sphrantzes (extrait des Mémoires)

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Biographie[modifier]

Georges Sphrantzès

Né à Constantinople en 1401, il entre en 1418 à l’âge de 17 ans à la cour de Manuel II Paléologue. En 1428, il passe au service de Constantin Paléologue, le futur empereur, alors despote de Morée. Il parcourt rapidement les échelons de la carrière politique, devient gouverneur de Patras en 1431, protovestiaire en 1432, gouverneur de Selimbrie en 1433, gouverneur de Mistra en 1437. Rappelé à Constantinople en 1451, il y devient grand logothète du trésor, c’est à dire ministre des finances. Il se trouve “ dans l’exercice de ses fonctions ” le 29 mai 1453, fait prisonnier, séparé de sa femme et de ses enfants. Il rejoint Mistra le 1er septembre puis Leontari en décembre, et se met au service de Thomas Paléologue, despote de Morée. Il accomplit pour lui une série de missions diplomatiques en Serbie, à Andrinople, à Venise, et au moment de l’invasion du Péloponèse par les Turcs, il se réfugie à Corfou. Il voyage en Italie, où il rencontre Bessarion, et retourne à Corfou, où il se fait moine sous le nom de Grégoire, en 1468. Il rédige alors ses Mémoires et meurt en 1477.

Mémoires[modifier]

Ses Mémoires sont d’un grand intérêt historique, en raison de la personnalité de leur auteur, de leur précision chronologique, et de leur langue : un grec très proche du parler populaire du XVème siècle.

Sources[modifier]

Codex : Vat. Ottob. Gr. 260. Sec. XVI, ff. 113r-206v ; Taurinens. gr. 246 (B VI 20), sec. XVII (en partie endommagé par le feu) ; Roman. Vallicell. Gr. CLXXII, fasc. 4, sec. XVII ; Vat. Barber. gr. 175, sec. XVII, ff. 1r-81v ; Vat. Barber. gr. 176, sec. XVII, ff. 1r-97v.

L’ensemble de ces textes et de leurs références vient de :

Texte grec établi par
Agostino Pertusi, La caduta di Constantinopoli, Le testimonianze dei contemporanei, Fondazione Lorenzo Valla, Arnoldo Mondadori Editore, 1976, 1990, pp. 216-224.
Traductions du latin, du grec et de l’italien par Marie-Anne Peric

Copie de page à supprimer (archivé depuis)[modifier]

Bonjour,

Ne sachant quoi faire de cette page car au minimum la mise en forme serait à revoir mais je doute aussi du fond, la source n’étant pas très claire (apparemment ce serait une traduction par la contributrice qui a crée la page mais à partir d'une publication de 1990, peut-être y a-t-il un problème légal, sans précision difficile de se faire un avis).

Cdlt, VIGNERON (d) 12 mars 2018 à 16:16 (UTC)[répondre]

Bonjour,
C'est apparemment traduit du grec et du latin. Je ne suis pas sûr que l'établissement d'un texte dans une ancienne langue donne des droits d'auteur. Cordialement, Yann (d) 14 mars 2018 à 03:37 (UTC)[répondre]
C'est probablement une traduction pédestre du fragment en anglais The siege of Constantinople according to George Sphrantzes extrait des Mémoires de l'auteur, voir la BnF. Sympa, mais que pouvons-nous en faire ici ?--Nyapa (d) 16 avril 2018 à 19:42 (UTC)[répondre]
voir Discussion:Georges_Sphrantzes, trad. Marie-Anne Péric, donc la contributrice qui l'a mis en ligne : il s'agit d'une ancienne prof/proviseure helléniste [1] qui est également l'autrice de la traduction des textes d'Isidore de Kiev.
vu qu'elle a maintenant créé un compte, je pense qu'on peut lui demander confirmation Clin d'œil. Elle n'était auparavant joignable que par Linkedin [2]. … et qui vient de repasser son bac d'après les actus Google Mort de rire
à mon avis, valide, mais il faut construire une boîte de titre. --Hélène (d) 23 juillet 2018 à 15:01 (UTC)[répondre]
Contre Contre suppression - la contributrice est l’autrice de l’édition originelle... et de sa traduction - et c'est une professionnelle (helléniste) - donc pas de pb de droits --Hélène (dite ''le bot de service'') (d) 13 décembre 2019 à 15:43 (UTC)[répondre]